Ces derniers temps le sujet de l’intelligence artificielle est devenu la star de l’information. Le sommet de l'IA, organisé en France les 10 & 11 février dernier, s’est conclu avec une session plénière au Grand Palais qui a rassemblé les chefs d’Etat et de gouvernement ainsi que des personnalités internationales, réunissant plus de 100 pays des 5 continents. En parallèle, une centaine d’événements liés au Sommet ont eu lieu, rassemblant les acteurs de la société civile et les entreprises, dont un événement pour les entreprises (Business Day) à la Station F. Des événements dédiés à l’IA et la démocratie, à l’impact environnemental de cette technologie, à la manipulation de l’information, ou encore à la cybersécurité ont aussi été organisés. Il est clair que l’IA n’est pas un outil comme les autres...

L’origine de l’IA
L'intelligence artificielle est une notion qui est née au milieu des années 1950, grâce au mathématicien Alan Turing. Ce dernier s’interrogeait sur le fait de savoir si un jour « penser », pourrait devenir une fonction inhérente à l'intelligence artificielle ou si elle n’était capable que d’un « jeu d’imitation » (imitation game).
Le Parlement européen définit aujourd’hui l’intelligence artificielle comme tout outil utilisé par une machine capable de « reproduire des comportements liés aux humains, tels que le raisonnement, la planification et la créativité ». L'IA est capable de créer du contenu en s’appuyant sur des modèles d’apprentissage réalisés grâce à d’immenses ensembles de données. Ses domaines d’investigation sont vastes et semblent difficiles à limiter. Les IA peuvent générer du texte, des images, des vidéos, et même des musiques. Elles peuvent aider à la rédaction de compte-rendu, de rapports, de courriels...mais aussi générer et optimiser du codage informatique.
A l'heure actuelle, les GPT (Generative Pre-trained Transformers) ou modèles de langage pré-entraînés interrogent en regard de l'utilisation qu'ils font des données et de leurs algorithmes, qui pour la plupart ne sont pas en open source (code source ouvert). Le RGPD impose en effet que les données traitées soient exactes, or les intelligences artificielles génératives produisent à partir de celles-ci un contenu qui peut être erroné, qui serait donc non conforme à la réglementation européenne.
La stratégie nationale pour l’intelligence artificielle, lancée en 2018, fait suite aux recommandations du rapport Villani. Elle a permis notamment :
- la création d’un réseau académique d'instituts d’excellence en intelligence artificielle (3IA puis cluster IA),
- le soutien à des chaires d’excellence en IA,
- le financement de programmes doctoraux,
- la mise à disposition de la recherche française de Jean Zay, un supercalculateur pour l’IA,
- la mise en œuvre d’un programme et équipements prioritaires de recherche en IA (PEPR IA)
Objectifs :
- donner un sens à l’intelligence artificielle :
- faire de la France un champion mondial de l’intelligence artificielle.
Pour y parvenir, la stratégie nationale comprend 1,5 milliard d'euros mobilisés dans le cadre de France 2030 pour accompagner l’écosystème français, lui permettre de se développer sur des marchés porteurs et de diffuser les usages de l’IA dans l’économie.
Le sommet de l’IA a permis de mettre en lumière plus d’une centaine d’actions et engagements concrets en faveur d’une AI de confiance accessible à̀ tous, autour de trois axes :
- donner à̀ chacun les moyens de s’approprier la révolution de l’IA ;
- favoriser le développement d’une IA durable ;
- renforcer le système international de gouvernance de l’IA pour le rendre plus efficace et inclusif.
L’IA dans mon commerce
L’Intelligence artificielle va faire évoluer le commerce en permettant une personnalisation de l’expérience client de plus en plus optimisée. Elle va améliorer les processus commerciaux en analysant les données en grandes quantités ; en faisant des recommandations personnalisées adaptées aux goûts des clients, augmentant de ce fait les occasions de vente.
Dans le markéting marketing l’IA sera une aide précieuse pour opérer un ciblage précis en lien avec le comportement des clients et en personnalisant les messages, ce qui facilitera l’engagement des clients. L’un des défis les plus importants consistera en la sécurisation du nombre de plus en plus important des données en possession des entreprises et de l’éthique de ces dernières. L'exposition des entreprises aux risques « Cyber » est en constante augmentation et l’assureur VGM – Verspieren Global Markets veille à proposer et à faire évoluer son offre de produit d'assurance spécifique « Cyber » avec ses assureurs-partenaires pour proposer des produits adaptés.
Dans son prochain livre, « Certifie Humain », qui sortira fin avril, Dora Formica compare l’arrivée de l’IA dans nos vies à celle de la montre à quartz dans le secteur de l’horlogerie. Elle qualifie la montre à quartz d’outil et soulignent que ceux qui choisissent les montres mécaniques « admirent la beauté de la technologie, de la technicité », soit « l’industriel versus l’artisanat ». Finalement pour les bijoux la même réflexion s’impose, avec l’IA nous aurons d’un côté la fabrication « industrielle » et de l’autre « l’artisanat d’art ».
L’IA créé avec les éléments que l’Homme lui a permis « d’ingurgiter », et avec cette masse d’informations, face à une demande précise, va effectuer des recherches dans sa base de données et arranger différents éléments ensemble. Mais l’émotion ne fait partie de ses capacités ... « Et qu’est-ce que l’art sinon d’un vecteur d’émotion ! »
©ATTITUDE Luxe reproduction interdite.
L'intelligence artificielle est une notion qui est née au milieu des années 1950, grâce au mathématicien Alan Turing. Ce dernier s’interrogeait sur le fait de savoir si un jour « penser », pourrait devenir une fonction inhérente à l'intelligence artificielle ou si elle n’était capable que d’un « jeu d’imitation » (imitation game).
Le Parlement européen définit aujourd’hui l’intelligence artificielle comme tout outil utilisé par une machine capable de « reproduire des comportements liés aux humains, tels que le raisonnement, la planification et la créativité ». L'IA est capable de créer du contenu en s’appuyant sur des modèles d’apprentissage réalisés grâce à d’immenses ensembles de données. Ses domaines d’investigation sont vastes et semblent difficiles à limiter. Les IA peuvent générer du texte, des images, des vidéos, et même des musiques. Elles peuvent aider à la rédaction de compte-rendu, de rapports, de courriels...mais aussi générer et optimiser du codage informatique.
A l'heure actuelle, les GPT (Generative Pre-trained Transformers) ou modèles de langage pré-entraînés interrogent en regard de l'utilisation qu'ils font des données et de leurs algorithmes, qui pour la plupart ne sont pas en open source (code source ouvert). Le RGPD impose en effet que les données traitées soient exactes, or les intelligences artificielles génératives produisent à partir de celles-ci un contenu qui peut être erroné, qui serait donc non conforme à la réglementation européenne.
La stratégie nationale pour l’intelligence artificielle, lancée en 2018, fait suite aux recommandations du rapport Villani. Elle a permis notamment :
- la création d’un réseau académique d'instituts d’excellence en intelligence artificielle (3IA puis cluster IA),
- le soutien à des chaires d’excellence en IA,
- le financement de programmes doctoraux,
- la mise à disposition de la recherche française de Jean Zay, un supercalculateur pour l’IA,
- la mise en œuvre d’un programme et équipements prioritaires de recherche en IA (PEPR IA)
Objectifs :
- donner un sens à l’intelligence artificielle :
- faire de la France un champion mondial de l’intelligence artificielle.
Pour y parvenir, la stratégie nationale comprend 1,5 milliard d'euros mobilisés dans le cadre de France 2030 pour accompagner l’écosystème français, lui permettre de se développer sur des marchés porteurs et de diffuser les usages de l’IA dans l’économie.
Le sommet de l’IA a permis de mettre en lumière plus d’une centaine d’actions et engagements concrets en faveur d’une AI de confiance accessible à̀ tous, autour de trois axes :
- donner à̀ chacun les moyens de s’approprier la révolution de l’IA ;
- favoriser le développement d’une IA durable ;
- renforcer le système international de gouvernance de l’IA pour le rendre plus efficace et inclusif.
L’IA dans mon commerce
L’Intelligence artificielle va faire évoluer le commerce en permettant une personnalisation de l’expérience client de plus en plus optimisée. Elle va améliorer les processus commerciaux en analysant les données en grandes quantités ; en faisant des recommandations personnalisées adaptées aux goûts des clients, augmentant de ce fait les occasions de vente.
Dans le markéting marketing l’IA sera une aide précieuse pour opérer un ciblage précis en lien avec le comportement des clients et en personnalisant les messages, ce qui facilitera l’engagement des clients. L’un des défis les plus importants consistera en la sécurisation du nombre de plus en plus important des données en possession des entreprises et de l’éthique de ces dernières. L'exposition des entreprises aux risques « Cyber » est en constante augmentation et l’assureur VGM – Verspieren Global Markets veille à proposer et à faire évoluer son offre de produit d'assurance spécifique « Cyber » avec ses assureurs-partenaires pour proposer des produits adaptés.
Dans son prochain livre, « Certifie Humain », qui sortira fin avril, Dora Formica compare l’arrivée de l’IA dans nos vies à celle de la montre à quartz dans le secteur de l’horlogerie. Elle qualifie la montre à quartz d’outil et soulignent que ceux qui choisissent les montres mécaniques « admirent la beauté de la technologie, de la technicité », soit « l’industriel versus l’artisanat ». Finalement pour les bijoux la même réflexion s’impose, avec l’IA nous aurons d’un côté la fabrication « industrielle » et de l’autre « l’artisanat d’art ».
L’IA créé avec les éléments que l’Homme lui a permis « d’ingurgiter », et avec cette masse d’informations, face à une demande précise, va effectuer des recherches dans sa base de données et arranger différents éléments ensemble. Mais l’émotion ne fait partie de ses capacités ... « Et qu’est-ce que l’art sinon d’un vecteur d’émotion ! »
©ATTITUDE Luxe reproduction interdite.

Venez rencontrer l'équipe VGM – Verspieren Global Markets : Gilles Caudrelier, Carole Bieri et Louise Stresser, sur le Salon FASHION RENNES JEWELS AND WATCHES
Dimanche 16 mars 2025 de 10h00 à 19h00
Lundi 17 mars 2025, de 10h00 à 19h00
Entrée gratuite réservée exclusivement aux Acheteurs et Bijoutiers Détaillants.
Une pièce d’identité sera demandée à l’entrée.
Cliquez sur ce lien pour vous inscrire.
FASHION RENNES JEWELS AND WATCHES by FASHION PARIS
Le Château des Pères, 35150 Piré-Chancé
A 25 km de Rennes.
Contacter l’organisateur Frédéric Bleu : 06 88 33 06 42
Prendre contact avec l’équipe de VGM – Verspieren Global Markets : Gilles Caudrelier (06 03 20 13 37), Carole Bieri (07 43 03 20 67) et Louise Stresser (06 76 34 92 04)
www.vgm-assurances.com
Dimanche 16 mars 2025 de 10h00 à 19h00
Lundi 17 mars 2025, de 10h00 à 19h00
Entrée gratuite réservée exclusivement aux Acheteurs et Bijoutiers Détaillants.
Une pièce d’identité sera demandée à l’entrée.
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A 25 km de Rennes.
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Prendre contact avec l’équipe de VGM – Verspieren Global Markets : Gilles Caudrelier (06 03 20 13 37), Carole Bieri (07 43 03 20 67) et Louise Stresser (06 76 34 92 04)
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Informations des lecteurs : Dans le cadre de la nouvelle loi encadrant le travail des influenceurs, mais aussi des journalistes et tous ceux qui sont présents sur les réseaux sociaux, nous vous informons que cet article a donné lieu à un partenariat avec la société Verspieren.
Carole Grouésy