Visiter un château, c’est plonger dans un livre d’histoire. En famille, la découverte d’une résidence royale fait travailler l’imaginaire des enfants et leur rend plus concrète la notion d’« autrefois ». Ces immersions culturelles sont favorisées par des supports pédagogiques ludiques, qui réjouissent petits et grands. Suivez Mireille Gignoux à la découverte du Domaine de Chantilly, après avoir posé vos valises à l’Auberge du Jeu de Paume, un Relais&Châteaux, qui aurait certainement séduit le duc d’Aumale.
Une halte prestigieuse
Visuel : Auberge du Jeu de Paume côté Parc.
A 40km de Paris, Chantilly évoque pour les gourmands la fameuse crème, pour les élégantes les chapeaux chics de la Garden Party du Prix de Diane, pour les amateurs d’équidés la capitale du cheval. Chargée d’art et d’histoire, cette petite ville se prête à des flâneries automnales, d’autant que son prestigieux domaine, l’un des joyaux du patrimoine français, a gardé sa splendeur d’antan.
Aux abords de ce site exceptionnel, l’Auberge du Jeu de Paume est incontestablement the place to be pour apprécier une pause historico-bucolique. Cette magnifique demeure, partiellement classée, a vu le jour en 2012, offrant une adresse prestigieuse aux amoureux de culture, d’équitation et de nature.
Accessible par la porte St-Denis qui ouvre sur la cité, le 5 étoiles doit son nom au Jeu de Paume qu’il jouxte (construit en 1756 pour le prince Louis-Joseph de Bourbon-Condé). Les 67 chambres et les 25 suites rappellent les nobles demeures du XVIIIème. Célébrant le style français classique, elles sont habillées de toiles de Jouy aux motifs bucoliques bleus ou lie-de-vin éditées par Pierre Frey. Ces précieux écrins, parés de mobilier de style Louis XV fabriqué en France par les manufactures Henryot et Collinet, s’ouvrent pour la plupart sur le parc du château. Dans leurs salles de bains, marbre de Carrare et miroirs de Murano jouent les complices.
Aux beaux jours, les tables du Jardin d’Hiver, le bistrot chic et décontracté, investissent le patio autour duquel s’articule l’établissement. Le soir, du mercredi au samedi, à la Table du Connétable, le restaurant gastronomique, Clément Le Norcy élabore une cuisine gourmande sophistiquée. Le chef propose aussi des paniers pique-nique pour des déjeuners champêtres dans le parc si le temps le permet. Une expérience conseillée car La Capitainerie, le restaurant du château établi sous les voûtes des anciennes cuisines de Vatel, n’offre pas de plats à la hauteur de l’ancien maître-queux.
De retour à l’Auberge, après avoir arpenté le domaine, on oublie la fatigue en faisant quelques longueurs dans la piscine du spa, avant de succomber à un relaxant soin Valmont.
Visuel : Auberge du Jeu de Paume côté Parc.
A 40km de Paris, Chantilly évoque pour les gourmands la fameuse crème, pour les élégantes les chapeaux chics de la Garden Party du Prix de Diane, pour les amateurs d’équidés la capitale du cheval. Chargée d’art et d’histoire, cette petite ville se prête à des flâneries automnales, d’autant que son prestigieux domaine, l’un des joyaux du patrimoine français, a gardé sa splendeur d’antan.
Aux abords de ce site exceptionnel, l’Auberge du Jeu de Paume est incontestablement the place to be pour apprécier une pause historico-bucolique. Cette magnifique demeure, partiellement classée, a vu le jour en 2012, offrant une adresse prestigieuse aux amoureux de culture, d’équitation et de nature.
Accessible par la porte St-Denis qui ouvre sur la cité, le 5 étoiles doit son nom au Jeu de Paume qu’il jouxte (construit en 1756 pour le prince Louis-Joseph de Bourbon-Condé). Les 67 chambres et les 25 suites rappellent les nobles demeures du XVIIIème. Célébrant le style français classique, elles sont habillées de toiles de Jouy aux motifs bucoliques bleus ou lie-de-vin éditées par Pierre Frey. Ces précieux écrins, parés de mobilier de style Louis XV fabriqué en France par les manufactures Henryot et Collinet, s’ouvrent pour la plupart sur le parc du château. Dans leurs salles de bains, marbre de Carrare et miroirs de Murano jouent les complices.
Aux beaux jours, les tables du Jardin d’Hiver, le bistrot chic et décontracté, investissent le patio autour duquel s’articule l’établissement. Le soir, du mercredi au samedi, à la Table du Connétable, le restaurant gastronomique, Clément Le Norcy élabore une cuisine gourmande sophistiquée. Le chef propose aussi des paniers pique-nique pour des déjeuners champêtres dans le parc si le temps le permet. Une expérience conseillée car La Capitainerie, le restaurant du château établi sous les voûtes des anciennes cuisines de Vatel, n’offre pas de plats à la hauteur de l’ancien maître-queux.
De retour à l’Auberge, après avoir arpenté le domaine, on oublie la fatigue en faisant quelques longueurs dans la piscine du spa, avant de succomber à un relaxant soin Valmont.

Huit siècles d’histoire
Visuel : Chateau de Chantilly, le Parc - Copyright Thibault Charpentier.
Cerné par les forêts de Chantilly, d’Halatte et d’Ermenonville, où les anciens propriétaires pratiquaient la chasse à courre, le château de Chantilly illustre l'art de vivre de l'aristocratie française aux XVIIe et XVIIIe siècles. Dressé au milieu d’un parc de 115ha, il est l’œuvre d’Henri d’Orléans, duc d’Aumale, cinquième fils de Louis-Philippe.
Depuis les premières fortifications médiévales, le château n’a cessé d’évoluer au fil des siècles, entre pillages lors de la guerre de Cent Ans et destructions révolutionnaires. Première dynastie marquante de son histoire, les Montmorency. Compagnon d’armes et ministre de François Ier, le connétable Anne de Montmorency fait élever dès 1557 l’actuel Petit Château de style Renaissance italienne. En mai 1643, Charlotte, la dernière héritière des Montmorency, épouse d’Henri II de Bourbon, le lègue à leur fils Louis II. Cousin de Louis XIV, surnommé le Grand Condé après sa victoire à Rocroi, il y organise une vie de cour aussi brillante qu’à Versailles, conviant Molière, Racine, La Fontaine, Le Nôtre et Vatel.
Visuel : Chateau de Chantilly, le Parc - Copyright Thibault Charpentier.
Cerné par les forêts de Chantilly, d’Halatte et d’Ermenonville, où les anciens propriétaires pratiquaient la chasse à courre, le château de Chantilly illustre l'art de vivre de l'aristocratie française aux XVIIe et XVIIIe siècles. Dressé au milieu d’un parc de 115ha, il est l’œuvre d’Henri d’Orléans, duc d’Aumale, cinquième fils de Louis-Philippe.
Depuis les premières fortifications médiévales, le château n’a cessé d’évoluer au fil des siècles, entre pillages lors de la guerre de Cent Ans et destructions révolutionnaires. Première dynastie marquante de son histoire, les Montmorency. Compagnon d’armes et ministre de François Ier, le connétable Anne de Montmorency fait élever dès 1557 l’actuel Petit Château de style Renaissance italienne. En mai 1643, Charlotte, la dernière héritière des Montmorency, épouse d’Henri II de Bourbon, le lègue à leur fils Louis II. Cousin de Louis XIV, surnommé le Grand Condé après sa victoire à Rocroi, il y organise une vie de cour aussi brillante qu’à Versailles, conviant Molière, Racine, La Fontaine, Le Nôtre et Vatel.

L’honneur perdu
Visuel : Chateau de Chantilly,Galerie des Cerfs -Copyright Sophie Lloyd.
La bâtisse conserve le souvenir tragique du fameux cuisinier, dont la réputation gastronomique dépassait les frontières. Pour servir les intérêts politiques du Grand Condé, François Vatel, nommé « contrôleur de la bouche », est chargé en avril 1671 d’orchestrer trois jours de fête en présence du Roi. Première déconvenue le jeudi 23.
Les tables manquent de rôtis car le nombre de convives est supérieur au nombre d’invitations. Le lendemain, vendredi saint, les centaines de poissons et coquillages prévus ne sont pas livrés. Déshonoré, épuisé par 12 nuits sans dormir, il se transperce le cœur de son épée. Son corps gisant est découvert dans sa chambre, à l’arrivée de « la marée ».

Légué à l’Institut de France
Visuel : Chateau de Chantilly, Grande Singerie - Copyright Sophie Lloyd.
Agrandi au Siècle des Lumières par l’architecte Jean Aubert, partiellement démantelé pendant la Révolution, le château de Chantilly change de mains en 1830. La lignée des Bourbon-Condé s’est éteinte avec l’exécution du duc d’Enghien, fils de Louis-Henri de Bourbon. Ce dernier légue donc son bien à son jeune filleul de 8 ans, Henri d’Orléans, duc d’Aumale.
En 1845, le nouveau propriétaire fait aménager des appartements privés dans le Petit Château qui a survécu aux démolisseurs. Puis au retour de 25 années d’exil en Angleterre, provoqué par la chute du régime de son père Louis-Philippe, il reconstruit le Grand Château afin d’y abriter ses collections. Légué à l’Institut de France, le palais ouvre ses portes au public sous le nom de « musée Condé » à son décès en 1898.

La Galerie des peintures
Visuel : Chateau de Chantilly, Galerie de Peinture - Copyright Sophie Lloyd.
Le duc d’Aumale a consacré son immense fortune à réunir une éblouissante collection de peintures anciennes (avant 1850), la deuxième par sa taille après le Louvre, présentée selon une muséographie typique du XIXème. Parmi les 830 tableaux conservés au château, on dénombre une centaine d’œuvres italiennes, notamment des Fra Angelico, Giotto, Raphaël, Botticelli et Titien. Autre temps fort, les 90 portraits de rois et reines peints par les Clouet père et fils. Le XVIIème est marqué par les portraits de Richelieu, Mazarin, Molière dus à Nicolas Poussin. Les Fêtes Galantes de Watteau illustrent le XVIIIème.
Bibliophile d’exception, le duc a amassé 60 000 ouvrages, dont 13 000 volumes exposés dans le cabinet des livres. Le manuscrit enluminé du XVème, Les Très riches Heures du Duc de Berry, constitue l’une des pièces les plus précieuses. Ici et là, la visite est jalonnée de mobilier d’origine royale et d’objets d’art, dont une collection de porcelaine de Sèvres.
Dans la galerie des Cerfs, une table semble dressée dans l’attente d’un banquet organisé par le duc d’Aumale. Il suffit de scanner le QR Code à proximité pour voir les assiettes se remplir de mets appétissants, reconstitués par le chef Clément Vergeat, qui a eu accès aux recettes des festins de l’époque.
Visuel : Chateau de Chantilly, Galerie de Peinture - Copyright Sophie Lloyd.
Le duc d’Aumale a consacré son immense fortune à réunir une éblouissante collection de peintures anciennes (avant 1850), la deuxième par sa taille après le Louvre, présentée selon une muséographie typique du XIXème. Parmi les 830 tableaux conservés au château, on dénombre une centaine d’œuvres italiennes, notamment des Fra Angelico, Giotto, Raphaël, Botticelli et Titien. Autre temps fort, les 90 portraits de rois et reines peints par les Clouet père et fils. Le XVIIème est marqué par les portraits de Richelieu, Mazarin, Molière dus à Nicolas Poussin. Les Fêtes Galantes de Watteau illustrent le XVIIIème.
Bibliophile d’exception, le duc a amassé 60 000 ouvrages, dont 13 000 volumes exposés dans le cabinet des livres. Le manuscrit enluminé du XVème, Les Très riches Heures du Duc de Berry, constitue l’une des pièces les plus précieuses. Ici et là, la visite est jalonnée de mobilier d’origine royale et d’objets d’art, dont une collection de porcelaine de Sèvres.
Dans la galerie des Cerfs, une table semble dressée dans l’attente d’un banquet organisé par le duc d’Aumale. Il suffit de scanner le QR Code à proximité pour voir les assiettes se remplir de mets appétissants, reconstitués par le chef Clément Vergeat, qui a eu accès aux recettes des festins de l’époque.

Les appartements Privés
Visuel : Chateau de Chantilly, Appartement Privés - Copyright Sophie Lloyd.
Aménagés en 1845-1848, ces lieux de vie sont accessibles uniquement en visite guidée pour 12 personnes. La Chambre de la duchesse d’Aumale, au mobilier capitonné, évoque les arts décoratifs sous la Monarchie de Juillet.
La Grande Singerie, salon avec allégories des sciences et des arts, rappelle le goût de l’exotisme oriental au XVIIIème. Telle une fable de La Fontaine, le peintre Christophe Huet s’y moque des êtres humains.

Trois jardins dans un parc
Visuel : Chateau de Chantilly, Parc - Copyright Thibault Charpentier.
Dessiné à la fin du XVIIème par André le Nôtre, le grand parterre à la française, au tracé géométrique et symétrique, symbolisait le triomphe de l’ordre sur le désordre, du réfléchi sur le spontané. Cette mise en scène théâtralisée est constituée de bassins, de jets d’eau, de fontaines, de bosquets, de statues. De tous les jardins créés par André Le Nôtre, Chantilly aurait été son préféré. Constitué par la Nonette, un affluent de l’Oise canalisé par Le Nôtre, le parc est traversé par le Grand Canal (2,5 km) qui mesure 600m de plus que celui de Versailles.
Imaginé en 1773 par l’architecte Jean-François Leroy à la demande de Louis-Joseph de Bourbon-Condé, le jardin anglo-chinois abrite un hameau de 5 maisonnettes rustiques, qui inspira Marie-Antoinette pour le Petit Trianon. Auréolé d’un verger, d’un potager et de ceps de vigne, les invités s’y divertissaient après la chasse. Aujourd’hui à l’heure du goûter, on s’y arrête pour déguster la fameuse crème fouettée, dont les origines sont contestées. Certains l’attribuent à Vatel. D’autres prétendent qu’elle a été imaginée en Italie pour Catherine de Médicis. L’historien Pierre Leclercq a trouvé en Angleterre la première recette de cette « neige de lait » datée de 1545.
Contre-pied du jardin à la française, partiellement saccagé à la Révolution, le jardin anglais, plus bucolique, dessiné sous la Restauration, puise son inspiration dans le romantisme. Au centre, l’île d’Amour rappelle la tradition des fêtes estivales des princes de Condé. Un Temple de Vénus, folie d’inspiration gréco-romaine, élevée en 1817 par l’architecte Victor Dubois, se reflète dans une pièce d’eau.
Visuel : Chateau de Chantilly, Parc - Copyright Thibault Charpentier.
Dessiné à la fin du XVIIème par André le Nôtre, le grand parterre à la française, au tracé géométrique et symétrique, symbolisait le triomphe de l’ordre sur le désordre, du réfléchi sur le spontané. Cette mise en scène théâtralisée est constituée de bassins, de jets d’eau, de fontaines, de bosquets, de statues. De tous les jardins créés par André Le Nôtre, Chantilly aurait été son préféré. Constitué par la Nonette, un affluent de l’Oise canalisé par Le Nôtre, le parc est traversé par le Grand Canal (2,5 km) qui mesure 600m de plus que celui de Versailles.
Imaginé en 1773 par l’architecte Jean-François Leroy à la demande de Louis-Joseph de Bourbon-Condé, le jardin anglo-chinois abrite un hameau de 5 maisonnettes rustiques, qui inspira Marie-Antoinette pour le Petit Trianon. Auréolé d’un verger, d’un potager et de ceps de vigne, les invités s’y divertissaient après la chasse. Aujourd’hui à l’heure du goûter, on s’y arrête pour déguster la fameuse crème fouettée, dont les origines sont contestées. Certains l’attribuent à Vatel. D’autres prétendent qu’elle a été imaginée en Italie pour Catherine de Médicis. L’historien Pierre Leclercq a trouvé en Angleterre la première recette de cette « neige de lait » datée de 1545.
Contre-pied du jardin à la française, partiellement saccagé à la Révolution, le jardin anglais, plus bucolique, dessiné sous la Restauration, puise son inspiration dans le romantisme. Au centre, l’île d’Amour rappelle la tradition des fêtes estivales des princes de Condé. Un Temple de Vénus, folie d’inspiration gréco-romaine, élevée en 1817 par l’architecte Victor Dubois, se reflète dans une pièce d’eau.

Avec des enfants
Visuel : Chateau de Chantilly, l'heure du Pique nique !
Un livret sur le château, agrémenté de questions, de jeux, de dessins, rend plus ludique la visite avec de jeunes enfants.
Dans le parc, les Sherlock Holmes en herbe peuvent aussi mener une enquête en suivant un parcours jalonné d’énigmes. Objectif : aider la jument Pélagie à retrouver son cavalier, le duc d’Aumale, égaré dans la nature.
Des voiturettes électriques permettent de parcourir plus aisément cet écrin de nature et d’approcher les kangourous, qui s’ébattent dans leur enclos à l’autre extrémité du parc.

Grandes écuries princières
Visuel : Chateau de Chantilly, Dôme des Grandes Écuries - Copyright Christophe Tanière
Entre l’hippodrome et le château se dresse un imposant monument de 186m de long, construit entre 1719 et 1735 par l’architecte Jean-Aubert pour Louis-Henri de Bourbon. Chef d’œuvre architectural, ces écuries princières abritaient 240 chevaux d’attelage et de chasse. Aujourd’hui la nef Est, que le duc d’Aumale a doté de boxes et de stalles, est occupée par des pur-sang, des chevaux de trait, des poneys.
Au cœur des écuries, le manège couvert, surmonté par un dôme sculpté de 28m de haut, a été transformé en salle de spectacle. Elle peut accueillir 600 personnes lors de représentations imaginées par la Compagnie équestre du château de Chantilly. Inspiré par l’exposition universelle, le prochain spectacle « Un jour à Paris » racontera en 15 tableaux la vie de Madame, une artiste excentrique dans le Paris des années Folles.

Musée du Cheval
Visuel : Chateau de Chantilly, Musée vivant du Cheval - Copyright Sophie Lloyd.
Créé en 1982 par Yves Bienaimé, le musée vivant du Cheval, rénové grâce au mécénat de l’Aga Khan, abrite depuis 2013 une collection d’œuvres d’art et d’équipement équestre. Entourant l’ancienne cour des remises, 15 salles thématiques présentent l’évolution du cheval dans toutes les civilisations et son rapport à l’homme.
Parmi les pièces remarquables figurent huit harnais du dernier Prince de Condé commandé pour le sacre du roi Charles X à Reims en 1825. Peintures, sculptures et autres objets, dont une salle dotée de selles du monde entier, complètent la visite. 20 panneaux avec quizz et anecdotes, complétés par 5 bornes interactives, interpellent les 7-12 ans. De quoi conclure en s’amusant la découverte des plus grandes écuries princières d’Europe.

Informations Pratiques
Visuel : Chateau de Chantilly, Galerie des Cerfs - Stag Room - Copyright Sophie Lloyd.
Auberge du Jeu de Paume
4 rue du Connétable
60500 Chantilly
aubergedujeudepaumechantilly.fr/fr/
Domaine de Chantilly
chateaudechantilly.fr
Spectacle « Un jour à Paris » les 19, 21, 22, 26, 28, 29 septembre et
3, 6, 10, 17, 19, 20, 24, 26, 27, 31 octobre, à 14h30.
Visuel : Chateau de Chantilly, Galerie des Cerfs - Stag Room - Copyright Sophie Lloyd.
Auberge du Jeu de Paume
4 rue du Connétable
60500 Chantilly
aubergedujeudepaumechantilly.fr/fr/
Domaine de Chantilly
chateaudechantilly.fr
Spectacle « Un jour à Paris » les 19, 21, 22, 26, 28, 29 septembre et
3, 6, 10, 17, 19, 20, 24, 26, 27, 31 octobre, à 14h30.
Mireille Gignoux