Au cœur d’un domaine de 1000ha dans l’arrière-pays varois, entre Lorgues et Flayosc, le Château de Berne cultive un style campagne provençale chic. Suivez Mireille Gignoux dans cet hôtel 5-étoiles, doté d’un restaurant étoilé. Un éden œnotouristique pour un break hivernal sous le doux soleil méridional.
Comme un hameau provençal
Une fois franchi le portail d’entrée, il faut encore parcourir cinq kilomètres sur une petite route, qui sinue entre bois, vignes et oliviers, avant d’apercevoir le château. Au bout d’une allée bordée de cyprès, se dresse fièrement la bâtisse de style toscan, flanquée de deux tours carrées. Acquise en 2007 par l’homme d’affaires britannique Mark Dixon, la propriété a bénéficié de nombreuses rénovations dès 2015, sous l’impulsion d’Alexandre Lafourcade, expert en restauration de vieilles pierres. Tandis que Dominique Lafourcade domptait quatre hectares de jardins pour magnifier le site, créant ici des espaces verts pour relier les bâtiments, là un potager indispensable à la cuisine du chef.
A l’image d’un typique hameau provençal, le château s’ouvre sur une placette où coule une fontaine. Alentour, 4000m2 de dépendances abritent restaurants, salons, une immense cuisine pour des cours hebdomadaires, une boutique, un fumoir, et, disséminées dans la verdure non loin des deux piscines extérieures, chambres et suites contemporaines pourvues de terrasse ou de jardinet. Baptisées basilic, prune, violette…, elles sont parées de couleurs chaleureuses et de matières soyeuses qui invitent à la quiétude.
Une fois franchi le portail d’entrée, il faut encore parcourir cinq kilomètres sur une petite route, qui sinue entre bois, vignes et oliviers, avant d’apercevoir le château. Au bout d’une allée bordée de cyprès, se dresse fièrement la bâtisse de style toscan, flanquée de deux tours carrées. Acquise en 2007 par l’homme d’affaires britannique Mark Dixon, la propriété a bénéficié de nombreuses rénovations dès 2015, sous l’impulsion d’Alexandre Lafourcade, expert en restauration de vieilles pierres. Tandis que Dominique Lafourcade domptait quatre hectares de jardins pour magnifier le site, créant ici des espaces verts pour relier les bâtiments, là un potager indispensable à la cuisine du chef.
A l’image d’un typique hameau provençal, le château s’ouvre sur une placette où coule une fontaine. Alentour, 4000m2 de dépendances abritent restaurants, salons, une immense cuisine pour des cours hebdomadaires, une boutique, un fumoir, et, disséminées dans la verdure non loin des deux piscines extérieures, chambres et suites contemporaines pourvues de terrasse ou de jardinet. Baptisées basilic, prune, violette…, elles sont parées de couleurs chaleureuses et de matières soyeuses qui invitent à la quiétude.
Le charme des maisons bourgeoises d’antan
Ces hébergements baignés de lumière complètent les sept suites du château proprement dit. Réparties sur deux étages, elles portent les noms de localités emblématiques de la région. Comme dans les maisons bourgeoises d’antan, elles affichent belle hauteur sous plafond, sol en tomettes, mobilier d’époque chiné chez les antiquaires de l’Isle-sur-la Sorgue, riches tentures, tableaux anciens et collections d’objets provençaux qui renforcent l’atmosphère authentique du lieu.
Notre préférée : la suite Saint-Rémy-de-Provence, un triplex au deuxième étage de l’une des deux tours, qui se prête à un séjour familial. Dans la grande suite parentale, parée notamment d’une imposante armoire de grand-mère, un escalier conduit à l’étage supérieur, l’espace réservé aux enfants. Quelques marches plus haut, s’ouvre une belle terrasse en rooftop, refuge exquis pour contempler les derniers rayons du soleil embraser l’ensemble de la propriété.
Ce Relais&Châteaux 5* possède également deux villas avec piscine privative, auréolées de végétation. Elles sont pourvues de trois et six luxueuses chambres, où bois, fer forgé et pierre jouent les complices. Une troisième sera disponible en avril 2023. Toutes se prêtent à la simple location ou peuvent être agrémentées du service hôtelier.
Ces hébergements baignés de lumière complètent les sept suites du château proprement dit. Réparties sur deux étages, elles portent les noms de localités emblématiques de la région. Comme dans les maisons bourgeoises d’antan, elles affichent belle hauteur sous plafond, sol en tomettes, mobilier d’époque chiné chez les antiquaires de l’Isle-sur-la Sorgue, riches tentures, tableaux anciens et collections d’objets provençaux qui renforcent l’atmosphère authentique du lieu.
Notre préférée : la suite Saint-Rémy-de-Provence, un triplex au deuxième étage de l’une des deux tours, qui se prête à un séjour familial. Dans la grande suite parentale, parée notamment d’une imposante armoire de grand-mère, un escalier conduit à l’étage supérieur, l’espace réservé aux enfants. Quelques marches plus haut, s’ouvre une belle terrasse en rooftop, refuge exquis pour contempler les derniers rayons du soleil embraser l’ensemble de la propriété.
Ce Relais&Châteaux 5* possède également deux villas avec piscine privative, auréolées de végétation. Elles sont pourvues de trois et six luxueuses chambres, où bois, fer forgé et pierre jouent les complices. Une troisième sera disponible en avril 2023. Toutes se prêtent à la simple location ou peuvent être agrémentées du service hôtelier.
Une cuisine éco-responsable
Tapi au cœur des 1000 hectares de nature préservée, le Château de Berne constitue un terrain de jeu inspirant pour le trio de passionnés qui officie en cuisine. L’environnement exceptionnel leur permet de déployer une approche locavore. Ils favorisent les produits locaux notamment légumes, baies, fleurs, fruits et herbes aromatiques issus du potager bio et privilégient les relations durables avec les producteurs et éleveurs des environs.
Ainsi, au restaurant « Le Jardin de Berne », le chef étoilé Louis Rameau imagine diverses expériences gustatives en cinq ou sept actes. Comme une symphonie de couleurs, de textures et de goûts pour satisfaire les papilles, tels la carotte de Maxence Guesnard confite en vinaigrette, coriandre et miel, la côte de bœuf maturée à 4 semaines, cuite à la braise avec sabayon au thym-citron, et l’incontournable dessert signature Ecorce de chocolat du maître pâtissier Eric Raynal (crémeux de fève Tonka et biscuit croustillant noisette du Piémont).
Au « Bistrot », labellisé Bib Gourmand, Aurélie Lieutaud surfe également sur les saisons. Par exemple, la selle d’agneau, roulée aux fruits secs en été, est préparée en croûte de champignons et châtaignes à l’automne.
Tapi au cœur des 1000 hectares de nature préservée, le Château de Berne constitue un terrain de jeu inspirant pour le trio de passionnés qui officie en cuisine. L’environnement exceptionnel leur permet de déployer une approche locavore. Ils favorisent les produits locaux notamment légumes, baies, fleurs, fruits et herbes aromatiques issus du potager bio et privilégient les relations durables avec les producteurs et éleveurs des environs.
Ainsi, au restaurant « Le Jardin de Berne », le chef étoilé Louis Rameau imagine diverses expériences gustatives en cinq ou sept actes. Comme une symphonie de couleurs, de textures et de goûts pour satisfaire les papilles, tels la carotte de Maxence Guesnard confite en vinaigrette, coriandre et miel, la côte de bœuf maturée à 4 semaines, cuite à la braise avec sabayon au thym-citron, et l’incontournable dessert signature Ecorce de chocolat du maître pâtissier Eric Raynal (crémeux de fève Tonka et biscuit croustillant noisette du Piémont).
Au « Bistrot », labellisé Bib Gourmand, Aurélie Lieutaud surfe également sur les saisons. Par exemple, la selle d’agneau, roulée aux fruits secs en été, est préparée en croûte de champignons et châtaignes à l’automne.
Des vins labellisés bio
En harmonie avec les menus, la carte de vins fait la part belle aux crus du Domaine, des AOP Côtes-de-Provence, reconnaissables à leur emblématique bouteille carrée.
Les cuvées, déclinées sur les trois couleurs (blanc, rosé et rouge), sont vinifiées et élevées en fût de bois. Elles s’épanouissent sur 175 hectares de vignes certifiées agriculture biologique, tout comme les autres propriétés viticoles du groupe MDCV (Mark Dixon Châteaux & Vignobles) les Bertrands et Saint-Roux au Cannet des Maures, et Ultimate Provence à la Garde-Freinet. De quoi offrir aux amateurs d’autres expériences œnologiques après la visite des caves du Château.
Un gommage au grenache noir
Autre façon inattendue de découvrir un cépage du Domaine : une pause détente au spa, espace bien-être de 800 m2, doté d’une piscine intérieure avec jacuzzis, sauna, hammam et de six cabines aux tonalités taupe. L’innovation de la saison est un gommage réalisé à partir de marc de raisin de grenache noir, issu de la parcelle du Plateau de Berne. Ce produit exclusif bio contient des pépins de raisin et des rafles de raisin, enrichis en particules sucrées pour optimiser l’élimination des cellules mortes. Il laisse sur la peau un film soyeux aux notes de pêche blanche, teintées de touches de basilic. Cet exfoliant a été réalisé en collaboration avec Vinésime, grand nom la vinothérapie, dont les actifs proviennent principalement de Pinot noir de Gevrey-Chambertin.
Autre façon inattendue de découvrir un cépage du Domaine : une pause détente au spa, espace bien-être de 800 m2, doté d’une piscine intérieure avec jacuzzis, sauna, hammam et de six cabines aux tonalités taupe. L’innovation de la saison est un gommage réalisé à partir de marc de raisin de grenache noir, issu de la parcelle du Plateau de Berne. Ce produit exclusif bio contient des pépins de raisin et des rafles de raisin, enrichis en particules sucrées pour optimiser l’élimination des cellules mortes. Il laisse sur la peau un film soyeux aux notes de pêche blanche, teintées de touches de basilic. Cet exfoliant a été réalisé en collaboration avec Vinésime, grand nom la vinothérapie, dont les actifs proviennent principalement de Pinot noir de Gevrey-Chambertin.
Un rituel visage innovant
Outre les deux marques partenaires, Vinésime et Cinq Mondes, le spa propose un rituel visage exclusif dispensé par Jérôme Lambotin. Inspirée du skintao créé par Alain Barrouillet, ce massage facial anti-âge allie techniques japonaises du kobido et techniques esthétiques occidentales. Une pratique qui provoque un afflux sanguin dans les tissus et dans certains muscles, favorisant une meilleure oxygénation. Alternant lissage, effleurage et acupression, ce lifting manuel envoie un signal aux adipocytes et fibroblastes pour activer élastine et collagène. Jérôme y ajoute un travail sur l’occiput, qui soulage les tensions. Résultat : l’ensemble du visage est tonifié et l’équilibre énergétique rétabli.
Complètement ressourcé, on peut enfourcher un VTT ou chausser ses baskets à la découverte des sentiers aménagés sur le domaine.
Château de Berne
Chemin des Imberts
83780 Flayosc
www.chateauberne.com
Attitude Luxe
