Qu’elles soient en ville ou à la campagne, nos adresses pour découvrir le Gers vont vous séduire ! Nature préservée, bien-vivre et bien-manger, voici le crédo des gersois qui sont heureux de vous accueillir sur leurs terres. Et si on s’échappait pour prolonger un peu des « grandes vacances » ? Comme toujours, ATTITUDE Luxe est parti sur les routes à la recherche de belles demeures, de patrimoine et de bonheurs simples.


Gers, généreuse Gascogne

Il porte le numéro 32 sur la liste des départements français et se trouve en région Occitanie. Pour être un peu plus précis, il se situe à mi-chemin entre Toulouse et Bordeaux, entre océan Atlantique, mer Méditerranée et montagnes pyrénéennes. Ancienne province de Gascogne, ses territoires sont traversés par de vrais morceaux d’histoire : La Gallo-Romaine, l’Art Cistercien, la route de D’Artagnan, les chemins de Saint-Jacques de Compostelle, l’Armagnac, les sites classés à l’UNESCO, « Les plus beaux villages de France », les jardins remarquables, la gastronomie, les courses landaises, le respect de la terre. Quant aux gersois, ils se définissent comme « jouisseurs » et c’est ainsi que nous les avons rencontrés avec leur bonne humeur, leur générosité et leur sens de l’hospitalité.   

    
                               

Auch, la belle surprise du sud-ouest

Notre voiture vient de traverser le Gers depuis le Pont de la Treille. Nous sommes à Auch, préfecture du Gers où nous débutons naturellement notre voyage. Je rejoins le guide conférencier Laurent Marsol qui me montre du doigt la ville haute « la préfecture du XVIIIème, la Cathédrale Sainte-Marie, la Tour d’Armagnac du XIVème (…) ». Née au VIème siècle, l’ancienne cité gallo-romaine Augusta Auscorum connut de grandes invasions dont celle des Vascons, qui lui donnèrent leur nom : Vasconie, future Gascogne. Auch en devint le siège archiépiscopal ce qui lui valut comme surnom « la cité des prêtres ». Avec Laurent, nous déambulons dans de jolies ruelles avec des façades à colombages, nous passons devant la Halle aux Herbes (où se vendaient fruits et légumes !) et nous nous arrêtons devant la magnifique Maison Fedel du XVème avec ses encorbellements de pierre et ses pans de bois. Dans la rue Lamartine, au numéro 13, j’apprends que le 25 septembre 1943, fut imprimé pour la première fois, le Chant des Partisans écrit par Joseph Kessel et Maurice Druon. Les amoureux d’art seront également heureux de visiter le Musée des Amériques-Auch qui abrite la seconde collection d’art précolombien de France après le musée du Quai Branly à Paris, mais aussi d’autres trésors comme la Messe de Saint Grégoire, très émouvante mosaïque de plumes réalisée en 1539.

    

Un peu plus loin, nous voici devant la Cathédrale Sainte-Marie dont Napoléon disait : « elle est de ces cathédrales qui devraient pouvoir être mises dans des musées ». Site majeur sur les chemins de Saint-Jacques de Compostelle classés au patrimoine mondial de l'Humanité par l'UNESCO, elle contient les vitraux d'Arnaud de Moles (parmi les plus beaux du XVIème), un avant-chœur réalisé en cuir de Cordoue et un chœur en bois de chêne composé de stalles hautes et de stalles basses où plus de mille cinq cents personnages sont sculptés, représentant un ensemble iconographique d'une incomparable richesse ! Et puisque nous aimons tous les surprises, Laurent me conduit dans l’Hôtel de Ville qui cache un adorable théâtre à l’italienne ! Auch porte décidément bien son titre de Capitale de la Gascogne.

    


Le logis du Domaine de Baulieu 

C’est donc le cœur empli de belles histoires auscitaines que nous rejoignons notre adresse pour la nuit. A une dizaine de minutes d’Auch, cette propriété a tout pour plaire avec ses chambres et ses lodges implantés en pleine campagne. Il règne donc ici un calme absolu qu’osent seulement interrompre (sic) les coqs des fermes alentours et les deux ânes de la maison. Dans cette ancienne ferme du XIXème siècle, on trouve les chambres avec leurs belles pierres blanches apparentes. A côté, huit lodges offrent une vue panoramique sur les collines gersoises. Ici, on a privilégié le confort et l’épure pour laisser rentrer la nature. Je m’en rends compte très vite en m’installant sur ma terrasse d’où monte l’odeur des blés coupés.

    


En traversant le jardin, j’aperçois l’ancienne grange qui accueille, me dit-on, de nombreux mariages. Comme je comprends… Mais, le charme n’est pas le seul à agir sur le Domaine. La cuisine du Chef Maxime Deschamps, une étoile verte, est l’autre atout de la maison. Il raconte bien volontiers que la « vocation » est née quand il avait dix ans. Après plusieurs années en France, il dirige pendant treize ans les prestigieuses cuisines du Toiny à Saint Barthélemy avant de rejoindre le Château de Mirambeau en Charentes-Maritimes. Un parcours qui lui vaudra de nombreuses récompenses et qu’il met au service du Domaine de Baulieu depuis 2018. Très attaché à la qualité des produits, il s’approvisionne chez des producteurs locaux ou directement dans son potager. Une exigence qui lui a valu une étoile verte Michelin, distinction qui récompense les établissements particulièrement engagés dans une approche durable de la gastronomie.
Dans son menu-dégustation du moment, il faut goûter son foie gras poché, truffes noires et pleurotes, son œuf biologique du Gers (on garde le jaune, on retire le blanc que l’on remplace par une émulsion à la truffe et au bacon !), son magret de Mirande cuit en basse température avec ses carottes parfumées à la cardamome, ou encore sa glace à la violette. Des recettes qui ne manquent pas de saveur et d’imagination.

    


Après une bonne nuit, je vous propose de vous détendre et de jouer. Rendez-vous pour commencer au Spa Cinq Mondes pour un massage ou un modelage relaxant. Je vous invite aussi à prolonger cet instant de détente dans le sauna et le jacuzzi avec vue sur la campagne. La piscine extérieure chauffée permet elle aussi de nager en toute quiétude et de profiter des couleurs de l’automne.
Pour les amateurs de divertissement et d’évasion grandeur nature, le Domaine de Baulieu a développé deux jeux : « La chambre 13, macabre repaire » et « la chambre noire, les disparus ». Attention, il ne s’agit pas d’un horror picture show. Enfermé(s) dans une salle avec vos coéquipiers (vous pouvez jouer en couple), vous disposez de soixante minutes pour résoudre une suite d’énigmes et ainsi vous échapper. Devenez profilers, journalistes, chimistes ou encore fugitifs le temps d’une heure dans des salles aux décors immersifs et développer votre esprit de déduction et d’équipe.

 



Armagnac Delord : Un patrimoine en héritage

Je retrouve Jérôme Delord à Lannepax, au cœur du Bas-Armagnac (berceau des Armagnac les plus réputés), là où l’histoire a débuté en 1893. C’est Prosper, l’arrière-grand-père, qui en a écrit le premier chapitre, en conduisant son alambic de ferme en ferme pour transformer le vin blanc en Armagnac. Leurs grands-parents puis leurs parents à la fois producteurs, distillateurs et négociants, ont contribué au développement de la maison et ont été les premiers à commercialiser leur Armagnac jusqu’aux États-Unis. Aujourd’hui, les deux frères, Jérôme et Sylvain, qui incarnent la quatrième génération de Delord à fabriquer de l’Armagnac, ont avant tout hérité des valeurs familiales fortes et de la volonté de produire des bas-armagnacs authentiques, et continuent d’étendre leur vignoble.
Jérôme me raconte que l’Armagnac est la plus ancienne eau-de-vie : Dans une lettre conservée au Vatican et datée de 1310, on y explique qu’elle possède plus de quarante vertus… L’eau-de-vie est produite à partir de raisin vinifié en blanc et distillé. Les eaux de vie, qu’elles proviennent du Bas-Armagnac, du Haut-Armagnac ou de la Ténarèze (les trois territoires de production) peuvent ensuite être assemblées et vendues sous l’AOC Armagnac.
Puis, nous entrons dans le saint des saints où plus de mille quatre cents fûts et foudres en chêne attendent patiemment le moment où les eaux-de-vie seront prêtes à être mises en bouteilles. Chez Delord, il existe aussi un paradis, véritable sanctuaire, où les eaux-de-vie les plus âgées sont conservées en dames-jeannes, à l’abri de la lumière, le plus ancien millésime de la maison datant de 1900.
Enfin, les fils Delord ont un joli projet pour 2023 : Rouvrir l’ancienne maison de famille sur le domaine de Galaubas, qu’ils ont racheté le 25 juin 2020, le jour de la Saint Prosper. Retrouvons-nous là-bas l’année prochaine pour déguster entre autre une collection d’Armagnac Bio.

     



« Bona Vida », boucherie-charcuterie, épicerie fine & restaurant

Retour dans la ville haute d’Auch, chez Pauline et Dimitri Mazars. Ce couple de trentenaires est plein d’idées, de bonne humeur et de professionnalisme. Ingénieurs spécialistes de l’agriculture et de la production animale, Dimitri, en bon aveyronnais, maîtrise la totalité de la filière viande ; Pauline, elle, avec une solide expérience en cuisine et en fromagerie, s’occupe des rayons traiteur/épicerie fine et du restaurant. Derrière le comptoir, s’exposent des produits locaux et exotiques, comme les viandes ibériques ou britanniques. Je déguste ce jour-là un paleron avec des frites maison et une délicieuse aïoli traditionnelle, ainsi qu’un Brillat-Savarin réalisé par Pauline. Bona Vida à Auch ! 

 

    

 

Le Florida ou l’histoire d’une famille

Reprenons la route, direction la ville thermale de Castéra-Verduzan, au nord d’Auch. Traversé par la Baïse, c’est le fief historique de la famille Ramouneda. Nous sommes accueillis par Baptiste, la quatrième génération d’hôteliers-restaurateurs. L’homme est souriant et très sympathique, mais il manie aussi avec panache l’art de recevoir et de mettre à l’aise. En nous installant au premier étage de sa maison, dans son cabinet de curiosité pour prendre un thé, il raconte l’histoire d’Angèle, qui en 1930 ouvrit une pension de famille avec table ouverte et bouquets de fleurs, vite baptisée par les réfugiés espagnols fuyant la guerre d’Espagne « Casa Florida » (maison fleurie). Dans les années 60, Paulette reprend le restaurant, suivie par son fils Bernard dans les années 80 et l’auberge qui était un lieu de fêtes devient rapidement une table gastronomique.
Baptiste lui a repris la pension de famille pour en faire une « auberge contemporaine » en 2012.  Après quinze ans passés à Paris dans l’univers du luxe et de la mode, Baptiste rentre chez lui dans cette maison qui l’inspire tant. Il crée un lieu unique et poétique qui mêle souvenirs personnels et objets contemporains. Il lui arrive aussi de détourner le mobilier familial lorsqu’il peint, par exemple, sur une grande horloge en bois de larges bandes noires et blanches. C’est encore lui qui ajoute quatre chambres et suites avec vue sur le jardin et le clocher du village, pour relaxer le corps et l’esprit. Dans ma suite (la 33), je vais pouvoir barboter dans un jacuzzi privé sous l’œil désintéressé des poules noires du propriétaire. Le mobilier de la chambre quant à lui imprime un style campagne moderne qui m’apaise instantanément.

     

Dans la salle de restaurant, résonnent des accents anglais, espagnols, américains … Je me souviens alors de la réputation du Florida et du Chef-saucier Marc Abramovici, une étoile Michelin. Après avoir travaillé auprès des plus grands chefs : A Londres, chez Tante Claire***auprès de Pierre Koffmann, à Lyon aux côtés de Pierre Orsi et son restaurant Orsi*, en Espagne au restaurant El Raco Can Fabes*** du chef Santi Santamaria ou à Barcelone chez Abac**, il revient dans le Gers et rejoint l’Auberge Le Florida en 2013. Au cours du dîner, le Chef va enchanter mes papilles avec ses légumes sur émulsion de courgettes, sa Saint-Jacques snackée et sa bisque de crustacés et son thon à la provençale. Baptiste Ramouneda et Marc Abramovici continuent de célébrer le bien manger et le bien dormir dans la belle auberge de Castéra-Verduzan.

    

 

Château de Lavardens, centre d’art en Gascogne

Il faut environ quinze minutes de Castéra-Verduzan pour rejoindre ce village labellisé « Plus beaux villages de France ». Je traverse une campagne rurale où les champs de blés succèdent aux champs de tournesols. Quelle sérénité ! Et puis, il apparaît sur son éperon rocheux, ce castelnau à la fière allure. De la première forteresse des Comtes d’Armagnac, il ne reste rien lorsque la famille d’Albret l’offre à Antoine de Roquelaure (l’un des protecteurs du futur roi Henri IV) qui le fait reconstruire. De ce XVIIème siècle, je découvre d’incroyables tours en trompe et de magnifiques pavements qui décorent tous de manière différente dix-sept salles du château. Sauvé en 2011 par les bons soins d’une association, le Château de Lavardens est devenu un remarquable centre d’art. A la sublime Triennale des Verriers d’Art succède une exposition appelée Plaisirs Simples. Elle rassemble les dessins de l’artiste Perry Taylor, fin observateur de la vie gasconne, qui dessine avec humour ces habitants et ces paysages. Je sais que vous allez adorer ces petites Gasconneries !

    

 

Une bastide sous le soleil de Gascogne

Filons un peu plus à l’ouest pour poser nos valises à Cazaubon - Barbotan Les Thermes. Devant la façade de La Bastide en Gascogne, ancienne chartreuse du XVIIIème, j’éprouve une forme de sérénité : Est-ce la couleur jaune sous le ciel bleu, la beauté des arbres du parc ? Alors, sans plus me poser de questions, je « laisse faire le monde qui tourne » et m’en remets aux bons soins de la famille Guérard et de ses collaborateurs. Chaque meuble, chaque objet a été chiné par Christine Guérard, me raconte mon hôtesse. Elle a voulu créer une élégance naturelle et méridionale, comme dans cette magnifique galerie ouverte sur le jardin avec ses belles méridiennes. Le pavement de l’entrée, unique vestige de la chartreuse, a été refait à l’identique et habille tout le couloir qui dessert les salons de réception jusqu’au restaurant. Admirez encore les boiseries qui délimitent la salle des petits-déjeuners avec ses têtes de perdrix, de bécasses. Côté chambre, la décoration a été particulièrement soignée avec de beaux meubles, des peintures originales, des photos d’art, des tommettes anciennes, ou des boiseries de chêne cirée. En rejoignant la piscine, je me dis que cette demeure sous ces petits airs champêtres offre un raffinement et un confort digne des plus beaux Relais & Châteaux.

    

 

A l’abri des regards, le bassin et ses confortables transats sont un véritable havre de paix. Pas un bruit, seule la brise du vent en cette fin de soirée. Et dire, que dans le fond du jardin, on accède par une petite porte dérobée à l’ancienne voie ferrée qui garde encore la Gare de Barbotan. Avec l’essor du thermalisme au début du XXème, c’est toute la belle société qui venait ici prendre les eaux.
Mais, pour l’heure, je suis attendue à la table de la Bastide pour déguster un « ventre-saint-gris », juron d’Henri IV et cocktail imaginé par le Chef Michel Guérard à base d’Armagnac blanc, citron vert et gingembre. Avec sa gigantesque armoire triptyque en chêne blond, ses dallages de cabochons et ses tableaux de personnages chinois, le restaurant est chaleureux et raffiné. Ce soir, le Chef propose une gribelette de lisette sous un voile de pain beurré et un gâteau soufflé au chocolat. Moments exquis !

    

 

Exotisme dans le Gers

C’est une histoire qui a commencé dans les années 80 à Betous autour d’une passion commune : Celle du palmier. Et puis, tout est allé très vite car la Palmeraie de Sarthou occupe aujourd’hui un vaste terrain d'environ huit hectares, établi sur la butte du site et ses pentes latérales. Je suis assez vite transportée par ce jardin classé Jardin Remarquable qui réunit un environnement aussi exotique dans l’ouest du Gers. La balade prend vite des airs de voyage initiatique car ici et là, se mêlent art et nature, dépaysement et aventure. Je découvre des collections de lotus, de nénuphars, de bambous merveilleusement mis en scène. Dans une authentique ferme gasconne remontée sur place, vivent des animaux au milieu d’une exposition de sculptures métalliques. Un peu plus loin, de l’art africain, des hamacs sous une ancienne gabarre de Garonne. Il y a même un espace pour lire et un piano si vous voulez exercer vos talents de mélomane. Tout est sublimé et protégé car à la Palmeraie de Sarthou, tous s’engagent dans une véritable démarche environnementale depuis quarante ans.

     

 

Prêt pour un voyage dans l’Antiquité ?

Avant de s’appeler Eauze, d’accueillir Henri III (futur Henri IV) et son épouse Marguerite de Valois (la reine Margot), elle s’est appelée Elusa et a été construite par les romains au 1er siècle. Elle rayonnait sur un territoire de plus de quarante hectares entre Bordeaux, Toulouse et les Pyrénées au moment de son âge d’or au IVème siècle. Puis, elle déclina progressivement avant qu’une ville médiévale n’apparaisse vers le IXème. Elusa disparut totalement et ne fut redécouverte qu’à partir du XVIIIe siècle. Aujourd’hui, celle que l’on appelle « ELUSA, Capitale Antique » réunit trois sites : La villa de Séviac (que je vous raconterai dans le second article), la domus de Cieutat et le musée archéologique du trésor d'Eauze. Avant de débuter votre visite, je vous recommande de passer par le centre d'interprétation d'ELUSA, un espace qui permet de découvrir l'ampleur de la cité antique d'Elusa à travers une scénographie moderne et ludique au coeur de la vie urbaine et rurale à l'époque gallo-romaine.
Qui n’a jamais participé à une chasse au trésor ? Mais, hélas, nous n’habitons pas tous Eauze et n’aurons peut-être pas la chance de découvrir ce trésor exceptionnel, mis au jour en 1985, alors que l’on pratiquait des recherches dans l’ancienne gare de la ville …Vingt-huit mille monnaies, dont la plupart étaient en argent, et une cinquantaine de bijoux et d’objets précieux : Six colliers en or rehaussés de pierres précieuses et de perles en nacre, un collier monétaire en or, un phylactère en or, trois bracelets en tôle d’or, six bagues et anneaux, cinq paires de boucles d’oreilles, six intailles, un camée, sept cuillers en argent, trois lingots en argent, deux couteaux à lame de fer et manche d’ivoire sculpté, quatre épingles en corne et une clé en bronze. Plusieurs indices laissent penser que son enfouissement remonterait à l’année 261 de notre ère. En visitant le musée d’Eauze, vous pourrez admirer ces pièces inestimables et remarquables dans une très belle scénographie.

    

Et puisque c’est maintenant l’heure du déjeuner, installez-vous à la terrasse du Loft Café sur la Place d’Armagnac. Bistrot sans chichi mais authentique, sa cuisine fait la joie du pays élusate. C’est mon premier foie gras depuis mon arrivée dans le Gers et il est fait « par la maison », m’explique le Chef dont le sourire et l’enthousiasme font plaisir à voir. Suivent des côtelettes d’agneau grillées et savoureuses. A Eauze, le Chef s’en donne à cœur joie pour préparer des recettes classiques issues du patrimoine culinaire gersois.

Fin de notre premier opus. A très bientôt

   

 

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