Doté d’une récompense de 5 000 euros, le Prix du Livre Cogedim Club créé en 2020, met à l’honneur un roman ou récit francophone où la famille et la transmission sont au cœur de l’intrigue. Il vient clore une année de lectures et d’échanges au sein des clubs des 26 résidences services seniors Cogedim Club participantes. Les 300 résidents, membres des clubs de lecture, ont voté en juin pour trois titres parmi les livres présélectionnés.
Les trois finalsites 2022 du Prix du Livre Cogedim Club
Le Prix du Livre Cogedim Club distingue des romans et récits francophones où la famille et de la transmission sont au cœur de l’intrigue, avec des sujets aussi variés que les secrets de famille, les relations parents-enfants, mère-fille, père-fils, frères-sœurs, les séparations, abandons et retrouvailles. Il vient clore une année de lectures et d’échanges au sein des clubs des 26 résidences services seniors Cogedim Club participantes. Les 300 résidents, membres des clubs de lecture, ont voté en juin pour trois titres parmi les livres présélectionnés.
David Diop pour La porte du voyage sans retour (Le Seuil, août 2022)
Tel est le surnom donné à l’île de Gorée, d’où sont partis des millions d’Africains au temps de la traite des Noirs. C’est dans ce qui est en 1750 une concession française qu’un jeune homme débarque, venu au Sénégal pour étudier la flore locale. Botaniste, il caresse le rêve d’établir une encyclopédie universelle du vivant, en un siècle où l’heure est aux Lumières. Lorsqu’il a vent de l’histoire d’une jeune Africaine promise à l’esclavage et qui serait parvenue à s’évader, trouvant refuge quelque part aux confins de la terre sénégalaise, son voyage et son destin basculent dans la quête obstinée de cette femme perdue qui a laissé derrière elle mille pistes et autant de légendes. S’inspirant de la figure de Michel Adanson, naturaliste français (1727-1806), David Diop signe un roman éblouissant, évocation puissante d’un royaume où la parole est reine, odyssée bouleversante de deux êtres qui ne cessent de se rejoindre, de s’aimer et de se perdre, transmission d’un héritage d’un père à sa fille, destinataire ultime des carnets qui relatent ce voyage caché.
Né à Paris en 1966, David Diop a grandi au Sénégal et est maître de conférences à l’Université de Pau. Il signe, avec « La Porte du voyage sans retour », son troisième roman, après le succès de « Frère d’âme » (lauréat du prix Goncourt des lycéens 2018, de l’International Booker Prize 2021 et traduit dans plus d’une trentaine de pays).
Le Prix du Livre Cogedim Club distingue des romans et récits francophones où la famille et de la transmission sont au cœur de l’intrigue, avec des sujets aussi variés que les secrets de famille, les relations parents-enfants, mère-fille, père-fils, frères-sœurs, les séparations, abandons et retrouvailles. Il vient clore une année de lectures et d’échanges au sein des clubs des 26 résidences services seniors Cogedim Club participantes. Les 300 résidents, membres des clubs de lecture, ont voté en juin pour trois titres parmi les livres présélectionnés.
David Diop pour La porte du voyage sans retour (Le Seuil, août 2022)
Tel est le surnom donné à l’île de Gorée, d’où sont partis des millions d’Africains au temps de la traite des Noirs. C’est dans ce qui est en 1750 une concession française qu’un jeune homme débarque, venu au Sénégal pour étudier la flore locale. Botaniste, il caresse le rêve d’établir une encyclopédie universelle du vivant, en un siècle où l’heure est aux Lumières. Lorsqu’il a vent de l’histoire d’une jeune Africaine promise à l’esclavage et qui serait parvenue à s’évader, trouvant refuge quelque part aux confins de la terre sénégalaise, son voyage et son destin basculent dans la quête obstinée de cette femme perdue qui a laissé derrière elle mille pistes et autant de légendes. S’inspirant de la figure de Michel Adanson, naturaliste français (1727-1806), David Diop signe un roman éblouissant, évocation puissante d’un royaume où la parole est reine, odyssée bouleversante de deux êtres qui ne cessent de se rejoindre, de s’aimer et de se perdre, transmission d’un héritage d’un père à sa fille, destinataire ultime des carnets qui relatent ce voyage caché.
Né à Paris en 1966, David Diop a grandi au Sénégal et est maître de conférences à l’Université de Pau. Il signe, avec « La Porte du voyage sans retour », son troisième roman, après le succès de « Frère d’âme » (lauréat du prix Goncourt des lycéens 2018, de l’International Booker Prize 2021 et traduit dans plus d’une trentaine de pays).
Mathias Malzieu pour Le guerrier de porcelaine (Albin Michel, janvier 2022)
En avril 1944, le père de Mathias, le petit Mainou, vient de perdre sa mère et son père l’envoie, caché dans une charrette à foin, en Lorraine chez sa grand-mère qui tient une épicerie près de l’ancienne frontière allemande. Ce sont ces derniers mois de guerre, vus à hauteur d’enfant, que fait revivre Mathias Malzieu, mêlant sa voix à celle de son père.
Mathias Malzieu entame sa carrière d’homme poétique en 1993 en fondant le groupe de rock Dionysos. Depuis, il développe son univers sous forme de livres, de disques et de films. Il connaît un immense succès populaire avec « La Mécanique du cœur » (2007), traduit dans plus de vingt pays. Son récit autobiographique, « Journal d’un vampire en pyjama » (2016), a reçu le Prix Essai France Télévisions et le Grand Prix des Lectrices de Elle, et son dernier roman « Une Sirène à Paris » s’est vu accompagné d’un disque et d’un film éponyme réalisé par Mathias Malzieu avec Nicolas Duvauchelle et Marilyn Lima.
Elena Piacentini pour Les Silences d'Ogliano (Actes Sud, janvier 2022)
Situé au coeur d’un Sud imaginaire, aux lourds secrets transmis de génération en génération, Les Silences d’Ogliano est un roman d’aventures et de passions dévorantes autour de l’accession à l’âge adulte. Un roman sur l’injustice d’être né dans un clan plutôt qu’un autre et sur la volonté de changer le monde. L’ensemble forme une fresque humaine, une mosaïque de personnages qui se sont tus trop longtemps sous l’omerta de leur famille et de leurs origines. Placée sous le haut patronage de l’Antigone de Sophocle, voici donc l’histoire d’Ogliano, celle du jeune Libero Solimane et de toutes celles et ceux qui en composent les murs, les hauts plateaux, les cimetières, les grottes, la grandeur.
Elena Piacentini est corse et vit à Lille. Après plusieurs polars publiés, notamment chez Fleuve noir et Pocket, Le Cimetière des chimères remporte en 2014 le prix Calibe 47 et le prix Soleil noir, « Les Silences d’Ogliano » est son premier roman en littérature blanche.
Situé au coeur d’un Sud imaginaire, aux lourds secrets transmis de génération en génération, Les Silences d’Ogliano est un roman d’aventures et de passions dévorantes autour de l’accession à l’âge adulte. Un roman sur l’injustice d’être né dans un clan plutôt qu’un autre et sur la volonté de changer le monde. L’ensemble forme une fresque humaine, une mosaïque de personnages qui se sont tus trop longtemps sous l’omerta de leur famille et de leurs origines. Placée sous le haut patronage de l’Antigone de Sophocle, voici donc l’histoire d’Ogliano, celle du jeune Libero Solimane et de toutes celles et ceux qui en composent les murs, les hauts plateaux, les cimetières, les grottes, la grandeur.
Elena Piacentini est corse et vit à Lille. Après plusieurs polars publiés, notamment chez Fleuve noir et Pocket, Le Cimetière des chimères remporte en 2014 le prix Calibe 47 et le prix Soleil noir, « Les Silences d’Ogliano » est son premier roman en littérature blanche.
Prochaine étape en octobre : le vote du jury du Prix du Livre Cogedim Club
Présidé par Brigitte Fossey, le jury se réunira lors d’une délibération filmée au cours de laquelle les membres voteront pour le lauréat. Elle sera diffusée courant octobre lors de la cérémonie officielle, organisée le même jour dans les 26 résidences : un moment festif permettant de célébrer la lecture.
Le jury est composé de personnalités de renom : Brigitte Fossey (comédienne) ; Éric Bouhier (écrivain) ; Élodie Fondacci (journaliste) ; Philippe Grimbert (écrivain et psychanalyste) ; Francesca Mantovani (photographe) ; Delphine Peras (journaliste) et Pascale Senk (journaliste et auteure de haïkus).
Présidé par Brigitte Fossey, le jury se réunira lors d’une délibération filmée au cours de laquelle les membres voteront pour le lauréat. Elle sera diffusée courant octobre lors de la cérémonie officielle, organisée le même jour dans les 26 résidences : un moment festif permettant de célébrer la lecture.
Le jury est composé de personnalités de renom : Brigitte Fossey (comédienne) ; Éric Bouhier (écrivain) ; Élodie Fondacci (journaliste) ; Philippe Grimbert (écrivain et psychanalyste) ; Francesca Mantovani (photographe) ; Delphine Peras (journaliste) et Pascale Senk (journaliste et auteure de haïkus).
Lauréats des éditions précédentes
2020 : Anne Icart, Lettres de Washington Square (Robert Laffont, janvier 2020)
2021 : Olivier Mak-Bouchard, Le Dit du Mistral (Le Tripode, août 2020
cogedim-club.fr
Secrétariat général du Prix du Livre Cogedim Club :
Agence Chemin Lisant / Florence Batisse-Pichet
Tél. 06 37 47 89 42
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