Pour les retardataires ou les aoûtiens qui n’ont pas encore choisi une crème solaire pour bronzer en toute sécurité, nous avons testé la première gamme solaire PATYKA. Des soins certifiés bio, à très haute protection, à la fois éthiques et sensoriels. A intégrer dans la routine beauté quotidienne des vacances.

Protéger sa peau : une évidence

Vitamine D, bonne mine, booster de moral… les bienfaits du soleil sont nombreux, mais il ne faut pas oublier les effets néfastes immédiats ou à long terme qu’il peut générer. On ne répètera jamais assez qu’il est indispensable de se protéger de ses rayons nocifs, de renouveler régulièrement l’application de la crème solaire toutes les deux heures et d’éviter l’exposition entre 11h et 16h.

Petit rappel

L’indice de protection est le premier critère de choix d’une crème solaire. Les dermatologues préconisent au minimum un soin SPF 30 pour le corps, et pour le visage, plus fragile, un indice 50+.

La composition est également à prendre en compte. On sait depuis longtemps que la benzophénone est suspectée d’être allergène, cancérogène et perturbateur endocrinien. Il faut fuir également l’octocrylène qui, en vieillissant, se dégrade en benzophénone (un dommage dénoncé par le chercheur du CNRS Didier Stien, qui confirme l’étude de mars 2021 d’une équipe franco-américaine publiée dans la revue Chemical Research in Toxicology).

L’octocrylène, néfaste également pour les coraux, n’est plus utilisé par certains fabricants, soucieux de réduire l’impact environnemental.

Autre plus pour l’épiderme : la présence d’un antioxydant ou d’un actif anti-âge.

Deux types de filtre

Pour protéger efficacement la peau, une protection à large spectre UVA/UVB est indispensable. Rappelons que les A qui traversent les nuages, soit 95% des UV, pénètrent profondément dans le derme et sont responsables des taches pigmentaires et du vieillissement cutané́ prématuré́.

Alors que les B, les 5% restant, pénètrent au niveau de l’épiderme, causant coups de soleil, brûlures et cancers de la peau.

Le Dr. Tullia de Risi-Pugliese, dermatologue-allergologue précise : « les filtres chimiques passent la barrière épidermique, absorbent les UV et libèrent ensuite l’énergie solaire sous une autre forme (chaleur ou rayonnement).

Inertes, les filtres minéraux ne passent pas la barrière épidermique, réfléchissent et diffusent les UV. Mais je déconseille ceux dont les formules contiennent des nanoparticules, qui, même si elles améliorent la sensorialité, diminuent les capacités réfléchissantes et peuvent passer la barrière cutanée ».
 

Une gamme 99,9% bio


La Maison PATYKA, l’une des premières marques de cosmétiques au monde certifiée bio par ECOCERT dès 2002, a tenu compte de ces paramètres dans sa première gamme de produits solaires, sortie cette saison sur le marché.

Outre un après-soleil, la gamme, déclinée en deux indices SPF 30 et SPF 50+ pour le visage comme pour le corps, associe :

. deux filtres minéraux naturels, photostables et non nanoparticulaires, l’oxyde de zinc et le dioxyde de titane, créant une véritable barrière à la surface de la peau.

. deux puissants antioxydants certifiés bio, l’extrait de pongamia, obtenu à partir des graines de l’arbre Karanja, et une micro-algue verte, riche en astaxanthine, 40 fois plus antioxydante que le bêta-carotène, accentuant la protection cellulaire.

. deux actifs, l’acide hyaluronique pur et naturel, issu de la biofermentation d’une bactérie lactique et d’un germe de blé, et l’aloé vera bio, riche en eau et en minéraux, complétant l’ action hydratante et apaisante.

Que ce soit pour le visage ou pour le corps, dans la formule SPF 30, 99.9% des ingrédients sont d’origine naturelle et 20.5% sont des ingrédients biologiques. Dans la version SPF50+, 99.9% des ingrédients sont d’origine naturelle et 23.5% sont des ingrédients biologiques.  Pour l’après-soleil, 99.6% sont des ingrédients d’origine naturelle et 22% des ingrédients biologiques.

Des soins agréables à appliquer


Pour le visage, PATYKA a opté pour une version tube-pompe. Dès la première application, on aime la texture fluide et légère qui contient en plus du tocophérol, plus connu sous le nom de Vitamine E, pour renforcer l’action protectrice du pongamia. Outre un fini invisible, la crème, qui ne laisse pas de pellicule grasse, favorise rapidement une peau satinée et hâlée.

La formule pour le corps, en format spray, convient parfaitement à un usage familial. Egalement léger, fluide, non collant, ce soin solaire s’étale facilement, pénètre rapidement, sans laisser de trace blanche, et résiste à l’eau. On n’a plus d’excuse pour prendre des couleurs sans dégâts irrémédiables.

Pour l’après-soleil, la marque a conçu un gel lacté, enrichi en bisabolol végétal, agent apaisant issu de la camomille, et en beurre de karité bio. Utilisé généreusement en fin de journée, il va hydrater, nourrir et régénérer la peau intensément. On a l’impression de badigeonner un baume fondant, qui donne un petit coup de fraîcheur immédiat et laisse un voile parfumé aux subtiles notes de fleurs blanches (nénuphar, jasmin blanc et fleur d’amandier).



Respectueux de l’environnement


Ces soins solaires assurent une protection efficace, sans risque de pénétration dans l’épiderme, d’allergie, ni de perturbateurs endocriniens. Tous les tubes sont fabriqués en plastique recyclé, imprimés à partir d’encres végétales.

Les étuis des références visage, véritables écrins en « origami », sont en carton issu de forêts éco-gérées, fermés sans point de colle et pliés à la main.

Devenue Entreprise à Mission en novembre 2020, PATYKA perpétue son engagement environnemental avec ces solaires respectueux des fonds marins et de l’environnement. Chaque année, 14 000 tonnes de crème solaire finissent dans la mer. D’où ces formules éco-conçues, biodégradables, résistantes à l’eau et respectueuses des océans. De même, les filtres  minéraux sont non hydrosolubles et respectueux des algues et des coraux.  

www.patyka.com

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