Ce livre retrace l’histoire d’un secret de famille, révélé par une longue correspondance cachée dans une maison de famille et nous entraine des Pyrénées à New-York. Il est le cinquième roman d’Anne Icart, qui déroule tout au long de son ouvrage, un fil ténu nous tient en haleine et nous fait espérer que ces destins contrariés trouveront, à un moment donné, la juste place qui leur revient.
Une histoire romanesque avec en ligne de mire l’amour filial
De son écriture fluide, Anne Icart nous offre une lecture aisée qui nous attrape dès le début de l’histoire et rend les rendez-vous de lecture attachant, comme le sont tous les personnages des Lettres de Washington square. Cette épopée nous entraine dans un parcours de près de 70 ans où les générations qui se suivent tracent leur histoire avec en ligne de mire celle de leurs ainés, un drôle d’héritage qui parfois empêche mais souvent propulse avec force dans la vie.
Le livre d’Anne Icart a reçu le tout nouveau prix du Livre Cogedim Club 2020. Ce prix, dont la remise a eu lieu le 10 septembre dernier, a pour vocation de récompenser un auteur français d’un roman ou d’un récit sur le thème de la famille et de la transmission. Les trois ouvrages finalistes ont été sélectionnés par les résidents Cogedim Club, membres du Club de lecture Grand-Parent & Résident au sein des dix-neuf résidences services seniors, crées par Cogedim Club, filiale du groupe Altaréa. Ces trois ouvrages ont été soumis à un jury, présidé par Brigitte Fossey, accompagnée de Monique Atlan, Eric Bouhier, Philippe Grimbert, Francesca Mantovani, Delphine Peras et Pascale Senk.
Les Lettres de Washington Square étaient en compétition avec deux autres finalistes : Corentine de Roselyne Bachelot (Plon) et Villa Taylor de Michel Canesi, Jamil Rahmani (Anne Carrière).
De son écriture fluide, Anne Icart nous offre une lecture aisée qui nous attrape dès le début de l’histoire et rend les rendez-vous de lecture attachant, comme le sont tous les personnages des Lettres de Washington square. Cette épopée nous entraine dans un parcours de près de 70 ans où les générations qui se suivent tracent leur histoire avec en ligne de mire celle de leurs ainés, un drôle d’héritage qui parfois empêche mais souvent propulse avec force dans la vie.
Le livre d’Anne Icart a reçu le tout nouveau prix du Livre Cogedim Club 2020. Ce prix, dont la remise a eu lieu le 10 septembre dernier, a pour vocation de récompenser un auteur français d’un roman ou d’un récit sur le thème de la famille et de la transmission. Les trois ouvrages finalistes ont été sélectionnés par les résidents Cogedim Club, membres du Club de lecture Grand-Parent & Résident au sein des dix-neuf résidences services seniors, crées par Cogedim Club, filiale du groupe Altaréa. Ces trois ouvrages ont été soumis à un jury, présidé par Brigitte Fossey, accompagnée de Monique Atlan, Eric Bouhier, Philippe Grimbert, Francesca Mantovani, Delphine Peras et Pascale Senk.
Les Lettres de Washington Square étaient en compétition avec deux autres finalistes : Corentine de Roselyne Bachelot (Plon) et Villa Taylor de Michel Canesi, Jamil Rahmani (Anne Carrière).
À propos de l’auteur
Ariégeoise de cœur mais Parisienne depuis toujours, Anne Icart est née en 1968. Elle exerce la profession de rédactrice juridique. Après Les Lits en diagonale (Prix des lycéens Fondation Prince Pierre de Monaco), récit de son histoire avec son frère handicapé, vendu dans cinq pays, et la “saga Balaguère” – Ce que je peux te dire d’elles (Prix du premier roman Méo-Camuzet), Si j’ai bonne mémoire et Le Temps de Lilas (Prix Pierre Benoît de l’Académie des Arts et Lettres du Languedoc) –, plébiscités par un large public, Lettres de Washington Square est le cinquième livre d’Anne Icart. Tous ses livres sont publiés chez Robert Laffont.
A lire le billet de Florence Batisse-Pichet, Secrétariat général du Prix du Livre Cogedim Club, pour en savoir plus sur Anne Icart.
Carole Grouésy
