Au cœur du triangle d’or et à 150 mètres de l’Arc de Triomphe, cette nouvelle adresse s’inscrit dans les codes d’une hôtellerie indépendante où le sens de l’accueil et un esprit « home sweet home » donnent une tonalité authentique. Rencontre avec Catherine Dupasquier, l’heureuse propriétaire.


Troisième adresse dans l’ouest parisien

Composé de deux hôtels situés dans le 17ème arrondissement de Paris, Les Jardins de la Villa et La Villa des Ternes, le groupe West Étoile Élysées accueille une troisième adresse 4* : l’Hôtel Lord Byron. Inauguré officiellement le 31 octobre dernier, l’hôtel a fait évoluer son histoire au cours d’un chantier de près d’un an et demi. En effet, la propriétaire a eu l’opportunité d’acquérir un hôtel mitoyen, Le Mayflower et a donc relevé le pari de réunir les deux immeubles en un.

Voyageant régulièrement entre l’Asie et les États-Unis, Catherine Dupasquier est toujours à l’affût du moindre détail et n’hésite pas à s’inspirer de ses propres expériences : elle a, par exemple, dessiné l’intérieur des placards des chambres pour en optimiser les rangements. Le Lord Byron reflète aujourd’hui l’impressionnante métamorphose des deux bâtiments XVIIIème et le XIXème siècle, témoins des hôtels particuliers des grandes familles de l’aristocratie et de la haute bourgeoisie. 

 


Une véranda, un patio privatif et une surprise !

On les devine dès la réception. La véranda ouvre sur un très joli patio privatif végétalisé avec son if centenaire. Avec sa dizaine de tables dressées, c’est une bulle de campagne en plein coeur de Paris. Mais, ce n’est pas la seule botte secrète du Lord Byron… Les clients qui choisissent les chambres en rez-de-chaussée sur 
cour ont le privilège de profiter de la douceur du jardin. Et la surprise vient également de la chambre Deluxe qui a sa propre terrasse privative et qui invite à la rêverie ou à la lecture dans cet hôtel qui porte le nom d’un poète illustre et qui se trouve situé rue Chateaubriand ! Enfin, ils pourront, comme moi, avoir envie de feuilleter la collection de L’Illustration, ancienne revue hebdomadaire culturelle, créée en 1843, dont les 111 volumes rouges habillent la Bibliothèque.

 

 
Se sentir comme chez soi

C’est la philosophie de Catherine Dupasquier qui propose un Honesty Bar où, selon les heures, vous pouvez déguster des boissons chaudes ou une sélection d’alcools, moelleusement installés dans de ravissants fauteuils tapissés de velours vert de style napoléon III, signés Jacques Garcia. Ou encore, en débutant une partie de backgammon depuis les fauteuils club en cuir fauve face au patio. La nuit commence à tomber et l’on vient d’allumer le sapin de Noël : c’est l’heure où Perle, la petite Loulou de Pommerany de Catherine, fait son entrée car, au Lord Byron, tout le personnel réserve à nos boules de poil un accueil Pet Friendly.

Côté chambre, nous avons eu un coup de cœur pour la décoration sobre et élégante : une palette de gris, taupe et brun fait écho à des matériaux nobles tels que le bois, le velours et le silestone marbré des bureaux. Les têtes de lits sont faites d’un assemblage minutieux de baguettes de chêne et le velours recouvre les coussins et les fauteuils. C’est sensuel et cosy !

www.hotel-lordbyron.com