La créatrice Carine Melkonian a créé la marque HANA SAN en 2016, après avoir fait ses classes dans le monde de la mode. De cette expérience et de sa passion pour le Japon, est née une première collection capsule de chemises blanches, exclusivement en coton naturel. Pièce emblématique du vestiaire masculin, la chemise blanche revisitée au féminin par Carine Melkonian offre à nos tenues une allure unique et raffinée.
Finalement, la première chose qui se voit lorsqu’on regarde les chemises Hana San, ce sont les détails :
Poignets au volume inattendu, ampleur de la chemise, légèreté du tissu. L’ensemble faisant ressortir un style épuré et extrêmement féminin.
Lorsqu'on se rapproche, c’est la qualité du tissu qui séduit, d’une grande douceur, toutes les pièces sont fabriquées dans une fibre naturelle de coton. La qualité du coton sélectionné lui donne aussi ce blanc incomparable dont la pureté illumine le teint.
Chaque chemise porte un nom japonais, rappelant la philosophie zen du pays du soleil levant propice à l’harmonie et à la sérénité, qui correspond bien à la sensation qui se dégage de l’ensemble des modèles.
La collection 2018 a ouvert ses portes à la couleur, ainsi des bleus, dans toutes leurs nuances, de la plus pastel à la plus sombre, viennent l’enrichir. Parfois, c’est un peu de dentelle de Calais qui vient s’incruster dans le jeu et donne alors à la chemise un air de campagne anglaise, douce et fraiche.
Poignets au volume inattendu, ampleur de la chemise, légèreté du tissu. L’ensemble faisant ressortir un style épuré et extrêmement féminin.
Lorsqu'on se rapproche, c’est la qualité du tissu qui séduit, d’une grande douceur, toutes les pièces sont fabriquées dans une fibre naturelle de coton. La qualité du coton sélectionné lui donne aussi ce blanc incomparable dont la pureté illumine le teint.
Chaque chemise porte un nom japonais, rappelant la philosophie zen du pays du soleil levant propice à l’harmonie et à la sérénité, qui correspond bien à la sensation qui se dégage de l’ensemble des modèles.
La collection 2018 a ouvert ses portes à la couleur, ainsi des bleus, dans toutes leurs nuances, de la plus pastel à la plus sombre, viennent l’enrichir. Parfois, c’est un peu de dentelle de Calais qui vient s’incruster dans le jeu et donne alors à la chemise un air de campagne anglaise, douce et fraiche.
Petite histoire de la chemise blanche
Au moyen-âge la chemise blanche était utilisée comme un sous vêtement ; pour des raisons d’hygiène, elle était uniquement blanche car elle se faisait bouillir. C’est l’industrie textile de Flandres, après la guerre de cent ans qui développe de nouvelles techniques de tissage. C’est au XVème siècle qu’un col est ajouté à la chemise et qu’elle commence à devenir un vêtement masculin.
Au XVIème siècle, les tissus sont plus fins et commencent à être ornés de dentelle, de broderies, et les jabots font leur apparition. La chemise devient de plus en plus un marqueur de statut social. C’est au XIXème siècle que la chemise s’allonge d’une dizaine de centimètres, ses pans s’arrondissent et elle se dissimule sous le costume pour devenir emblématique du vestiaire masculin.
Les années 20 ouvrent timidement une voie féminine à la chemise blanche, mais c’est surtout les icônes du cinéma qui lui offre une nouvelle vie en la transformant en objet de transgression des codes établis. Ces femmes qui déjà affirment une nouvelle féminité en faisant fi du quand dira-ton.
Désormais, pièce essentielle et intemporelle du vestiaire féminin, la chemise blanche est devenue aussi emblématique que la « petite robe noire » !
Au moyen-âge la chemise blanche était utilisée comme un sous vêtement ; pour des raisons d’hygiène, elle était uniquement blanche car elle se faisait bouillir. C’est l’industrie textile de Flandres, après la guerre de cent ans qui développe de nouvelles techniques de tissage. C’est au XVème siècle qu’un col est ajouté à la chemise et qu’elle commence à devenir un vêtement masculin.
Au XVIème siècle, les tissus sont plus fins et commencent à être ornés de dentelle, de broderies, et les jabots font leur apparition. La chemise devient de plus en plus un marqueur de statut social. C’est au XIXème siècle que la chemise s’allonge d’une dizaine de centimètres, ses pans s’arrondissent et elle se dissimule sous le costume pour devenir emblématique du vestiaire masculin.
Les années 20 ouvrent timidement une voie féminine à la chemise blanche, mais c’est surtout les icônes du cinéma qui lui offre une nouvelle vie en la transformant en objet de transgression des codes établis. Ces femmes qui déjà affirment une nouvelle féminité en faisant fi du quand dira-ton.
Désormais, pièce essentielle et intemporelle du vestiaire féminin, la chemise blanche est devenue aussi emblématique que la « petite robe noire » !
Où trouver les Chemises Hana San :
En France dans plus de 100 points de vente, ainsi qu’à l’international travers de nombreux points de ventes : https://www.hanasan.com/nos-points-de-vente
et chez le concept store Lulli, qui repère les marques les plus pointues dans l’ère du temps. (Boutiques à Marseille, Cassis, Sanary et Lyon)
Et sur le site e-shop : https://www.hanasan.com/
En France dans plus de 100 points de vente, ainsi qu’à l’international travers de nombreux points de ventes : https://www.hanasan.com/nos-points-de-vente
et chez le concept store Lulli, qui repère les marques les plus pointues dans l’ère du temps. (Boutiques à Marseille, Cassis, Sanary et Lyon)
Et sur le site e-shop : https://www.hanasan.com/
Carole Grouesy