Bora Bora : La Perle du Pacifique

Le vol Air Tahiti entre Papeete et Bora Bora est d’à peine quarante-cinq minutes. Et soudain, elle est là devant moi avec sa forme de triangle ou de petite pyramide, et ses splendides anneaux de couleur bleue. Des bleus au pluriel, devrais-je dire, car les couleurs du lagon qui vibrent sous le vent sont infinies. Le spectacle est grandiose, tel l’Olympe fantasmé des dieux grecs ! A l’arrivée, le rituel des colliers de fleurs de Tiaré reprend, puis, nous sommes escortés jusqu’au bateau du Conrad Bora Bora Nui, notre prochaine destination.



Pendant la croisière qui dure une vingtaine de minutes, j’écarquille les yeux, éblouie et presque incrédule : La Perle du Pacifique se dessine devant moi avec son relief puissant recouvert d’une végétation lumineuse. Le Mont Otemanu joue à cache-cache derrière un légère écharpe de nuages. La couleur de l’eau, elle, oscille entre un camaïeu de bleus et de turquoise interrompu de temps à autre par quelques motus. L’hôtel Conrad Bora Bora Nui est d’ailleurs niché au sud-ouest de Bora Bora dans une crique privée sur le Motu To’opua ; soudain, les premières villas sur pilotis apparaissent et semblent flotter sur l’horizon indigo de l’Océan Pacifique. Nous sommes accueillis par Justine Rey, responsable de l’organisation des mariages au Conrad. Avec elle, nous traversons le très beau jardin tropical de l’hôtel jusqu’à notre villa, et je comprends que les amoureux du monde entier viennent se marier ou renouveler leurs vœux sur ce motu enchanteur. Notre villa de luxe sur pilotis est comme une oasis de luxe sur l’eau : Une splendide terrasse équipée d’un hamac suspendu au-dessus de l'eau permet d’accéder librement et de façon privée au lagon. L’intérieur quant à lui, avec ses cent mètres carrés dispose de fenêtres entièrement rétractables pour embrasser une vue à cent quatre-vingt degrés. La décoration est sobre avec sa déclinaison de couleurs claires et de bois précieux ; la salle de bains joue elle aussi les stars avec sa grande baignoire ronde d’où l’on aperçoit l’horizon bleuté.



Je meurs d’ailleurs d’envie de le voir de plus près. J’enfile donc palmes, masque et tuba pour ma première plongée dans les eaux de Bora Bora. Le spectacle sous l’eau est toujours aussi magique avec de nombreux poissons colorés et le ballet des raies commence. Le Conrad Bora Bora Nui soutient d’ailleurs le projet Manta Trust de Polynésie Française dans le cadre d'un partenariat signé en 2021 et fournit un soutien logistique et financier pour atteindre les objectifs de conservation des raies mantas dans la région. Avec une station de nettoyage pratiquement sur le pas de sa porte, l’hôtel est en effet un endroit idéal pour que l'équipe surveille et étudie la population des raies mantas.
Les expériences pour se baigner et se détendre sont nombreuses dans l’hôtel : Se prélasser sur la longue plage de sable blanc, opter pour une cabana au bord de l’immense piscine à débordement de mille mètres carrés ou réserver une excursion sur l’adorable motu Tapu. L’hôtel met également en avant l’artisanat local en proposant des cours hebdomadaires pour créer un superbe lei de fleurs locales, peindre un paréo ou tresser un chapeau avec des feuilles de noix de coco.

La nuit est tombée sur Bora Bora, c’est l’heure de penser à notre dîner. Le resort propose plusieurs tables et j’ai choisi ce soir une carte chinoise,... Mais, avant de dîner, j’ai rendez-vous au Bar Upa Upa pour une dégustation de cocktails. J’enfourche mon vélo (un petit luxe mis à disposition par le Conrad pour circuler tranquillement) et je rejoins le Bar décoré des fameux canapés Kenzo Takada et de carreaux de verre pour admirer les fonds marins. Parmi la très belle carte de cocktails, le Sweet Ticky m’attire avec son mélange de rhum tahitien, rhum ambré, amareto, citron, jus d’ananas et sirop de gingembre. L’ambiance, ce soir, est aussi autour de nous avec deux danseuses tahitiennes enchainant tamourés endiablés et rythmes plus lents.
Changement de décor dans le restaurant chinois : Le Banyan est effectivement implanté auprès d’un grand banian éclairé et d’un bassin où nagent des carpes. La carte rend hommage à différentes régions de Chine, telles Canton, Fujian ou encore l’Ile de Hainan. Fruits de mer, dim sum et plats classiques clôturent délicieusement ma première soirée au Conrad Bora Bora Nui.

Le lever de soleil ayant lieu vers 6h30, les journées sous les tropiques débutent tôt. Le restaurant IRIATAI où les petits-déjeuners sont servis surplombe la plage et les bungalows sur pilotis, et offre ainsi une vue à couper le souffle sur le lagon. Mais, pour l’heure, le buffet retient toute mon attention avec ses nombreuses propositions gourmandes françaises et polynésiennes : Viennoiseries, financiers, cookies, madeleines, et Firi-Firi – beignet local au lait de coco – ou encore Pa’i ananas – chausson à la purée d’ananas et lait de coco. Un régal !!!

Dans ce bout du monde renversant et idyllique, aux antipodes de nos paysages français, je comprends que les amoureux rêvent de Bora Bora pour le plus beau jour de leur vie. Le Conrad Bora Bora Nui leur offre un cadre merveilleux et une équipe dédiée pour combler tous leurs souhaits avec professionnalisme, créativité et originalité. La cérémonie peut, par exemple, avoir lieu sur la plus longue plage de sable blanc de Bora Bora, la bien nommée Plage du Bonheur, dans la Chapelle Saint Amour, sur le Mont Tapu, plage privée de la reine Pomaré IV, dernière reine de Tahiti. Fleurs tropicales, musiciens et danseurs polynésiens accompagnent la cérémonie pour transformer ce moment unique en souvenirs inoubliables.

Avant de découvrir Bora Bora sur et sous l’eau, je m’offre un tour de l’ile en scooter. Comme presque toutes les îles sous le vent, elle est haute avec un relief volcanique cerné par un lagon. Tout au long de ma balade d’une demi-journée, je suis suivie par les monts Pahia et Otemanu, le plus haut avec ses sept cent vingt-sept mètres. La route de trente-kilomètres qui fait le tour de l’île traverse le village de Vaitape et la sublime plage de Matira avec ses couleurs bleues étourdissantes. Un peu plus loin, la Pointe Fitiu me rappelle que Bora Bora a été choisie par les américains comme base de ravitaillement après l’attaque de Pearl Harbor en 1941. Il reste de cette époque des canons de défense côtière d’où le point de vue sur le lagon est spectaculaire. Pour le déjeuner, faites une halte au Saint James à Vaitape pour une assiette de poissons frais pêchés le matin même et des pâtisseries tout à fait délicieuses !

Envie de changer de motu pour dîner ? Rien de plus simple ; le bateau du Four Seasons Bora Bora vient nous prendre à 18 heures. La croisière est tout à fait charmante car le bateau contourne l’île de Bora Bora pour rejoindre le nord-est. Sur une île privée, le resort est installé entre lagon, lagune et jardin exotique. Au Bar Vaimiti, le ciel tahitien étoilé scintille de mille feux et de nouvelles constellations apparaissent dans cette partie du monde. Nous avons réservé notre dîner au restaurant Arii Moana (prince des océans, en tahitien) : Dans la cocoteraie de l’hôtel, la table mêle cuisine méditerranéenne et spécialités locales : Focaccia maison, homard rôti aux agrumes, tajine aux citrons confits et délice au chocolat. Félicitations au Chef Sébastien Fontes, de retour dans le Pacifique Sud !

Ce matin, je pars à la découverte du fameux lagon de Bora Bora. Cette journée tant attendue est organisée par Voyages Confidentiels qui m’accompagne depuis mon départ de Paris. Pour cette excursion que je souhaite exceptionnelle et authentique, c’est Roberto qui a été choisi pour son expertise et ses connaissances sur la Polynésie. Marquisien de naissance, il vit à Bora Bora depuis plusieurs années et est passionné par sa culture. Nous embarquons à bord d’une magnifique pirogue à balancier tatouée de signes noirs et blancs. Grâce à lui, nous découvrons toute la magie du lagon avec ses raies pastenague, requins à pointe noire et toute une myriade de poissons multicolores : Balistes, poissons papillon, rougets, murènes, … Connaisseur du monde marin, Roberto a soigneusement choisi le spot de plongée et nous fait rêver en montrant des coraux rares et autres bénitiers de toutes les couleurs. Cette excursion privée permet également de profiter du lagon « seuls au monde ».

Le déjeuner devient à son tour une anthologie sur le Motu Haapiti qui a été privatisé pour nous. Une table est dressée sous un adorable faré tressé en pandanus dont les feuilles ont également servi à tresser les arts de la table. Les plats apparaissent comme par magie : Salade de poissons crus, grillades de poissons et poulets accompagnées de bananes plantain et de taros. Le dessert constitué de fruits frais a un succès fou. Roberto réapparait au moment du café et propose de nous enseigner le tressage des feuilles de pandanus. En quelques instants, il tresse un sac « Chanel by Bora Bora » (comme il le baptise), un joli diadème ou encore des assiettes. Il partage également avec nous des anecdotes de son quotidien et explique combien il est difficile de préserver les traditions car, « même à quinze mille kilomètres, la métropole envahit l’espace de nos enfants avec tablettes at autres jeux ». Nous, nous profitons de la tranquillité et de la qualité du moment au côté de Roberto, qui incarne si bien la magie de la Polynésie.

Pour notre dernière nuit à Bora Bora, Voyages Confidentiels a réservé pour nous le bungalow 102 à The St Regis Bora Bora Resort à l’ombre du Mont Otemanu. La surprise est de taille car l’hôtel propose les villas sur pilotis les plus spacieuses du Pacifique Sud ! D’une superficie de cent quarante mètres carrés, notre faré comprend une chambre et un salon séparé, une très grande salle de bains qui, avec ses planchers de verre permet de se brosser les dents en admirant les eaux bleu turquoise du lagon. La décoration du The St. Regis met en valeur l’artisanat polynésien avec ses bois exotiques, toits de palmes et pontons privés. L’exotisme se poursuit également sur l’oreiller avec une huile de monoï de Tahiti et des bonbons coco faits maison ! Mais, ce n’est pas le moment de dormir : J’ai envie d’explorer le motu Ome’e et son célèbre lagonarium, un sanctuaire protégé. J’enfourche mon vélo (ils vous sont attribués pendant votre séjour), et découvre un resort arboré et fleuri par une grande variété d’espèces. En passant devant le Royal Estate, je rêve à ces mille deux cent mètres carrés et à sa plage privée. Le luxe du luxe ! Voici maintenant le Famous Bridge, d’où le lever de soleil est, dit-on, inoubliable… et la piscine principale et l’oasis pool avec ses cabanas disséminés au milieu d’un jardin et de cascades. Je crois que le paradis n’attend plus que moi !

 

Pour dîner, The St. Regis a encore vu les choses en grand avec quatre restaurants de spécialités italiennes, polynésiennes ou asiatiques. Ce soir, je choisis la le Lagoon, un restaurant gastronomique étonnant sur pilotis et avec une salle aux planchers de verre qui offrent une vue à couper le souffle sur Bora Bora. Mais, le show pour le moment se déroule dans les assiettes sous la houlette du Chef exécutif Nicolas Nguyen. Passionné par la cuisine locale, il réinterprète un thon rouge au lait de coco et sashimis de mahi mahi dans un bouillon de tomates épicées, un tataki de bœuf servi avec un gratin de pommes de terre truffées. Le Chef choisit aussi de mettre à l’honneur un plateau de fromages préparé la maitre affineur Juliet Lamy « La fromagère de Tahiti ». En regagnant ma villa, j’aperçois entre les feuilles de cocotiers, de pandanus et de miki-miki toute la beauté du ciel de Bora Bora et me dis que le motu secret du St. Regis doit absolument être protégé.

Raiatea : La Sacrée

Dans l’avion qui me conduit à Raiatea en à peine vingt minutes, je repense à mes lectures sur le « mana », puissance mystérieuse et invisible qui anime les polynésiens. Il se dégage en effet dans ces îles, sur terre et dans l’océan, dans les pierres et chez les personnes des vibrations et des émotions uniques au monde. Devant l’aéroport, notre guide avec son chapeau en feuilles de palmiers assène un « Ia Ora Na » (que tu vives toujours) avec un large sourire. Connaissant ma curiosité pour la culture polynésienne, Voyages Confidentiels a réservé cette excursion privée à la découverte de Raiatea la sacrée, avant de rejoindre le Motu Nao Nao. Pour une immersion colorée et joyeuse, nous commençons par le marché couvert d’Uturoa, petite ville qui est néanmoins le second pôle urbain et économique de la Polynésie Française. Un peu plus loin au bord de la rivière Faaroa, le jardin botanique vaut le détour : Nous nous trouvons dans la caldeira du volcan qui est aussi la vallée agricole de Raiatea. Ici, on trouve de tout comme des bananiers, avocatiers, arbres à pain, goyaviers, … au milieu des effluves de fleurs de Tiaré et de frangipaniers. Et il parait qu’à la saison de l’abondance (l’été qui va débuter en novembre), les richesses de ce jardin édénique sont démultipliées !!!

Mais, voici venu le moment que j’attends avec impatience : Le site cérémoniel du Marae Taputapuatea. Inscrit sur la Liste du Patrimoine Mondial de l’Unesco en 2017, le marae, consacré au dieu de la guerre Oro, a joué un rôle majeur dans l’histoire de la Polynésie. Bati au XVIIème siècle sur une grande clairière entre route et lagon, il se compose de plusieurs maraes qui représentaient le siège du pouvoir spirituel et temporel et rayonnaient sur toute la Polynésie. Toute la force du mana règne ici en maitre. Continuons notre route vers le sud-est jusqu’au restaurant de l’Opoa Beach Hotel. Niché entre sable blanc et cocotiers, le restaurant, qui sera rénové en 2024, a les pieds dans l’eau et propose la pêche du jour comme ce délicieux thon en trois styles. Repris il y a quelques mois par deux français Cédric et Arnaud, l’Opoa Beach est une halte agréable et gourmande sur l’île de Raiatea.

Le second grand moment de cette journée est notre arrivée sur le Motu Nao Nao. Choisie par Voyages Confidentiels, cette adresse exclusive est un véritable trésor. Suivez-moi. A bord d’un très chic bateau rouge, je vois se profiler petit à petit un long motu frangé de cocotiers et de palmiers. Portant le nom de la passe Nao Nao, ce motu totalement privé et long de deux kilomètres offre vingt-six hectares de jardin et de plages. Nous sommes attendus sur le ponton par Sylvain Delanchy, le directeur et ses équipes. Tandis que nous dégustons une délicieuse eau de coco, il nous rappelle que cet motu sera le nôtre et exclusivement le nôtre pendant toute la durée de notre séjour. Seuls au monde, comme vous ne l’avez jamais rêvé ! Le motu possède trois villas entièrement dédiées à nos petits plaisirs. La villa Miti à a été préparée pour nous, les repas se prendront à la villa Mana mais nous pourrons aussi profiter de la villa Miri, si le cœur nous en dit. Chacune est orientée vers l'océan et leur décoration signée par le designer local Alain Fleurot mise sur l’élégance et le luxe des matériaux locaux : Corail de l'île, charpentes en bois de Aito, terrasses en teck birman, …

Il est temps de faire le tour du propriétaire, à pied ou à bicyclette pour découvrir le Lagon Beach, le Sunset Beach ou le Shark point. Le jardin est magnifique avec ses nombreuses espèces de palmiers, frangipaniers, tiarés de Tahiti, de pandanus, et autres noyers,…
De retour à la villa, je profite de la vue sur le lagon et surtout du silence environnant. Le soleil est en train de se coucher et les oiseaux s’en donnent à cœur joie. Une douche parfumée avec la ligne de bains Le Comptoir du Monoï et je rejoins la villa Mana pour le dîner. Ce dernier ayant été coordonné en amont avec Voyages Confidentiels et à mon arrivée avec Arnaud, notre maitre d’hôtel, je m’attends à une soirée magique. En effet, au Motu Nao Nao, le comble du luxe est d’avoir un chef privé depuis le petit-déjeuner jusqu’au dîner. Au piano, le Chef Wilfrid Kobylt élabore des plats à base de produits locaux et de saison, cuisine des poissons, des légumes bio et des plantes cultivées sur le motu. Il m’invite d’ailleurs à le rejoindre à ma guise dans son jardin pour me raconter ses recettes. Mais, pour l’heure, le dîner qui va nous être servi est digne d’un gala à Versailles : Gyosas aux crevettes, nems de volaille, tuiles aux algues, ravioles de crabe, bouillon d’algues au gingembre et son riz aux pétales de tomates confites et des perles du Japon cuites au lait de coco.
Et pour terminer cette première belle journée, l’équipe nous propose une soirée cinéma. A nous de sélectionner le film (dans une playlist vertigineuse) et notre boisson dans une cave de vins, Champagne et autres soft drinks à notre entière discrétion.

Après une nuit au milieu de l’Océan Pacifique, seuls au monde, le petit-déjeuner est un autre festin entièrement fait maison : Pain aux céréales, viennoiseries et muffins aux fruits, jus frais d’ananas et de papayes, salade de fruits, confitures dont une mémorable à la fleur de porcelaine et framboise, miel et yaourts. Parmi un large choix d'activités réservées pour nous - plongée sous-marine, jet ski, tour de lagon en bateau, safari 4x4, Va’a Holopuni, massage, tour nature et culture, Yoga, pêche au gros, randonnée pédestre, planche à voile, hobie-cat...,- nous décidons de nous laisser tenter par une plongée avec Sylvain.

 

Amoureux de la Polynésie où il vit depuis plusieurs décades, il aime partager sa passion pour la faune marine de Raiatea et sa protection. Sylvain nous conduit à proximité de l’Ile aux oiseaux pour un snorkeling au cours duquel nous découvrons des fonds marins d’une beauté préservée et des variétés de coraux rarissimes. Les fonds blancs sont sublimes et l’eau d’une transparence cristalline. Nous sommes seuls au monde et une fois encore tout à fait émus par la beauté de la Polynésie.
Pour le coucher du soleil, une surprise nous attend sur la Sunset Beach avec son magnifique salon devant l’Océan. La nuit est belle tandis que nous profitons de notre dernière soirée sur le Motu Nao Nao et en Polynésie. Très discrètement, trois musiciens nous rejoignent et commencent à chanter de douces mélopées polynésiennes accompagnées des traditionnels ukulélés et djembés. Evoquer ce moment suscite encore en mois des souvenirs merveilleux.

Et, pour que ces derniers instants soient éternellement parfaits, le Chef Wilfrid a réalisé une soupe de poissons ainsi que son plat signature, un tajine d’agneau et avec une semoule aux abricots séchés, et un dessert de makrouds aux dattes.
Difficile de quitter de tels lieux enchanteurs, difficile de quitter la Polynésie. Ces îles du bout du monde sont les gardiennes d’une nature préservée et d’un art de vivre qui marie respect et amour. Comme disait Marlon Brando à propos de son île Tetiaora, « qu’elle reste un endroit qui rappellera aux tahitiens ce qu’ils sont et ce qu’ils ont été des siècles auparavant ». Fasse que ses paroles soient écoutées pour les siècles à venir !

Voyages Confidentiels

Le mantra de Myriam Guyon, fondatrice de Voyages Confidentiels, pourrait être « l’art et l’excellence pour des voyages d’exception ». Elle compose des expériences de voyage dans les lieux les plus prestigieux de la planète, des plus connus aux plus secrets, à la hauteur de nos désirs d’émotions et d’évasion. Elle dessine des itinéraires singuliers et sur mesure, des séjours au luxe incomparable mais respectueux de l’environnement et des hommes. Voyages Confidentiels, l’art du voyage avec un supplément d’âme.

Air Tahiti Nui

Air Tahiti Nui, reconnaissable entre toutes avec sa flotte « tatouée » caractéristique, fête en 2023 ses 25 ans. Elle dessert Tahiti via Los Angeles et via Seattle depuis juin dernier. Le dépaysement commence dès l’embarquement avec l’accueil chaleureux du personnel naviguant 100% polynésien et se poursuit durant tout le vol avec la fleur de Tiaré offerte dès l’embarquement, la musique et les annonces en tahitien à bord, les nombreux documentaires sur la destination de la vidéothèque, les uniformes des hôtesses, les kits avec les produits locaux. Elle propose 3 classes de voyage au confort renouvelé, et des tarifs tout compris incluant bagage à main, bagage cabine, bagage de 23kg en soute ainsi qu’un bagage supplémentaire contenant un équipement sportif, repas avec boissons alcoolisées et collations.

Air Tahiti

Air Tahiti est le principal transporteur aérien inter-îles en Polynésie Française depuis plus de 60 ans. Il dessert un réseau aussi vaste que l’Europe qui couvre 47 îles du pays, reliant ainsi plus de 90% de la population. La compagnie assure les échanges de nature administrative, scolaire et médicale entre Tahiti et les îles, contribuant ainsi à l'aménagement du Territoire et à son développement économique. Elle est également impliquée dans le développement du tourisme, la préservation de l’environnement et de nombreuses actions culturelles comme sociales.  Envie de visiter plusieurs îles au cours d'un même voyage ? Optez pour les Pass Air Tahiti et découvrez des îles des différents archipels de Polynésie Française à un tarif attractif.

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