Que l'on croie ou non à "son Ange", ce livret, accompagné de son jeu de 72 cartes, offre un bon outil de méditation. Il procure calme et sérénité, appréciable en ces temps bousculés... Carole Huriot a réalisé cet ensemble, avec Margaret Nardello. Cette dernière est la créatrice des magnifiques illustrations figurant sur les cartes. Le simple fait de les manipuler et de les admirer participe à nous détendre et plus si affinité.

Un parcours peu ordinaire

De formations universitaires pluridisciplinaires, Carole Huriot, a travaillé pendant vingt ans en entreprise. Communication et management furent les deux axes de son parcours professionnel. Dans le même temps, elle s'intéresse aux sciences-humaines, aux philosophies et traditions spirituelles, ainsi qu'aux soins énergétiques. Elle explique que ses capacités médiumniques sont apparues à la suite de plusieurs décès au sein de sa famille et que peu à peu ses perceptions intuitives se sont transformées en réception de messages ; sa médiumnité s'est alors accélérée et affinée. 

Carole Huriot précise que sa relation avec le monde invisible remonte à son enfance et qu'elle découvre les 72 Anges de Lumières vers l'âge de 18 ans. Sa rencontre avec Haziel, maître de l'angéologie en France, lui a ouvert les portes de la compréhension des Archanges et des Anges de Lumières de l'Arbre de Vie.

Aujourd'hui, elle transmet à son tour cette connaissance lors de ses consultations et ses conférences ; elle est convaincue que chacun est un Être spirituel.   
 
Carole Huriot a fondé les Editions VISITER SA VIE, créateur de Lumière et d'Amour, dans le but de développer une ligne éditoriale qui ouvre le cœur et l'esprit. Le livre de méditation et les cartes JE SUIS en sont les premiers outils.



Les mandalas de Margaret Nardello

D'origine autrichienne, Margaret Nardello, est installée en France et crée des mandalas afin de transmettre la dimension sacrée dans son art. Margaret dit s'inspirer des énergies de l'univers afin que ses mandalas soient dans la résonnance cosmique et le rayonnement d'énergie d'autres dimensions.
Ses mandalas sont fondés sur la mathématique des séquences du grand mathématicien italien du XII siècle, Léonard de Pise, connu sous le nom de Fibonacci. Ce dernier a popularisé cette séquence à travers son œuvre la plus importante, le « Liber Abaci » (livre de calcul) en 1202, qui permet de diffuser en Occident la science mathématique des Arabes et des Grecs. Elle apparaît dans de nombreux problèmes de dénombrement et sous de nombreuses formes biologiques, comme la disposition des feuilles sur une tige ou le nombre de pétales sur une marguerite. La suite de Fibonacci est donc une suite de nombres ayant un lien commun, chacun des termes est la somme des deux termes précédents.
Les nombres de cette suite sont à l’origine de la structure de nombreuses œuvres d’art, et servent à tracer des spirales et à approcher le nombre d’or (1,618).

Le nombre d’Or ou la proportion divine

L'histoire de cette proportion commencerait dans l’antiquité, où elle apparaît pour la première fois dans les « Eléments » d’Euclide comme la division en extrême et moyenne raison.

C’est un moine franciscain italien, Luca Paciolo, à la Renaissance, qui la met à l'honneur dans un manuel de mathématiques, illustré par Léonard de Vinci. Il la surnomme « divine proportion » en l'associant à un idéal envoyé du ciel. Cette vision se développe et s'enrichit d'une dimension esthétique, principalement au cours des XIXe et XXe siècles où naissent les termes de « section dorée » et de « nombre d'or ». En France, pouvoir codifier de manière scientifique la beauté est une idée qui séduit et les dimensions des grands bâtiments, comme celle du Louvre, de l’arc de Triomphe, sont mesurées, mais aussi des pyramides d’Egypte et encore des éléments issus de la nature, comme les coquillages ou les plantes.

Les propriétés algébriques du nombre d’Or le lient à la suite de Fibonacci qui lui fournit des approximations. Il est érigé en théorie esthétique et justifié par des arguments d'ordre mystique comme une clé importante, voire explicative, dans la compréhension des structures du monde physique, particulièrement pour les critères de beauté et surtout d'harmonie ; sa présence est alors revendiquée dans les sciences de la nature et de la vie, proportions du corps humain ou dans les arts comme la peinture, l'architecture ou la musique.

Néanmoins, à travers la médecine, l'archéologie ou les sciences de la nature et de la vie, la science infirme les théories de cette nature car elles considèrent qu’elles sont basées sur des généralisations sans fondement et des hypothèses inexactes. Toutefois, Le peintre Salvator Dali fait référence au nombre d'or et à sa mythologie dans sa peinture, en particulier dans son tableau dénommé Le Sacrement de la dernière Cène. De nos jours, de nombreuses formations au merchandising à l’attention des professionnels pour réaliser les vitrines des magasins ont pour base ce fameux Nombre d’Or. En conclusion, il semble que cette proportion divine puise se vérifier dans un grand nombre de bâtiments ou éléments de la nature, mais les exceptions qui ni répondent pas, comme certaines galaxies ou les yeux sur les plumes de paon, empêchent d’en faire une vérité universelle.

Les mandalas réalisés par Margaret Nardello sont, d’après elle, porteurs de codes cosmiques par l'interférence macrocosme (L'Univers) -microcosme (L'Être humain) et activent les codes spirituels de notre ADN, traçant ainsi des ponts entre plans matériels et invisibles. Par ce cheminement, leurs énergies harmoniseraient les différents corps de l'Homme et agiraient positivement sur le psychisme conscient et inconscient. Des fréquences s'activeraient et contribueraient à l'équilibre global de santé par leurs vibrations.


Quoiqu'il en soit, ces 72 cartes de grand format peuvent être un support de méditation qui ouvrent le voyage avec grâce.