Envie d’un week-end ou de quelques jours de détente, besoin d’un changement de décor ?… La Vienne saura vous accueillir avec élégance et gourmandise en vous offrant de multiples possibilités pour un dépaysement enchanteur. C’est sûr, vous reviendrez !
Chapitre 1 : Le château de Dissay
Que ce soit par le train ou l’Autoroute A10, le château de Dissay, à quelques encablures du Futuroscope, présente tous les atours d’une escapade de charme sous les lustres de l’histoire de France. Cet établissement, qui vise les 5 étoiles, est une superbe bâtisse du XVème siècle. Son nouveau propriétaire, Christophe Bouvier, a déployé tout son savoir-faire afin que ses clients vivent une expérience exceptionnelle, tout en leur transmettant l’émotion dont est chargé l’héritage historique du Château.
Quand un cadre exceptionnel rencontre un homme d’exception, les résultats sont éblouissants !
Christophe Bouvier souhaite que les clients s’approprient le château de Dissay et s’y sentent parfaitement bien. Aussi, bien que les travaux aient été colossaux, tant sur le château que sur ses dépendances, l’objectif du nouveau propriétaire, en accord avec la DRAC et les Architectes des Bâtiments de France missionnés sur le chantier, a toujours été de garder précieusement le cachet du site, tout en l’adaptant aux normes de confort hôtelier haut de gamme et de sécurité.
Il faut souligner que cette grande aventure est une initiative familiale. Originaire de Normandie, le nouveau propriétaire, qui était dans la première partie de sa carrière dans la finance et l’assurance, a déjà connu une première expérience dans le secteur hôtelier en investissant avec un ami dans l’Inter-hôtel Beuzeville, en Normandie.
Depuis, il cherchait un site d’exception pour une nouvelle aventure et c’est presque par hasard, en lisant une annonce dans un magazine répertoriant ce type de site, que Christophe Bouvier a rencontré le Château de Dissay. Il a été séduit immédiatement par ce monument historique classé, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur, avec ses 3 500 m² bâtis, sur un domaine de 7 hectares au total, avec une forêt et un parc dessiné par un élève de Lenôtre.
Que ce soit par le train ou l’Autoroute A10, le château de Dissay, à quelques encablures du Futuroscope, présente tous les atours d’une escapade de charme sous les lustres de l’histoire de France. Cet établissement, qui vise les 5 étoiles, est une superbe bâtisse du XVème siècle. Son nouveau propriétaire, Christophe Bouvier, a déployé tout son savoir-faire afin que ses clients vivent une expérience exceptionnelle, tout en leur transmettant l’émotion dont est chargé l’héritage historique du Château.
Quand un cadre exceptionnel rencontre un homme d’exception, les résultats sont éblouissants !
Christophe Bouvier souhaite que les clients s’approprient le château de Dissay et s’y sentent parfaitement bien. Aussi, bien que les travaux aient été colossaux, tant sur le château que sur ses dépendances, l’objectif du nouveau propriétaire, en accord avec la DRAC et les Architectes des Bâtiments de France missionnés sur le chantier, a toujours été de garder précieusement le cachet du site, tout en l’adaptant aux normes de confort hôtelier haut de gamme et de sécurité.
Il faut souligner que cette grande aventure est une initiative familiale. Originaire de Normandie, le nouveau propriétaire, qui était dans la première partie de sa carrière dans la finance et l’assurance, a déjà connu une première expérience dans le secteur hôtelier en investissant avec un ami dans l’Inter-hôtel Beuzeville, en Normandie.
Depuis, il cherchait un site d’exception pour une nouvelle aventure et c’est presque par hasard, en lisant une annonce dans un magazine répertoriant ce type de site, que Christophe Bouvier a rencontré le Château de Dissay. Il a été séduit immédiatement par ce monument historique classé, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur, avec ses 3 500 m² bâtis, sur un domaine de 7 hectares au total, avec une forêt et un parc dessiné par un élève de Lenôtre.
Au programme : cinq chemins pour aller à la rencontre de Dissay.
Bien être, avec le SPA de 430 m², installé dans l’ancien chais du Château, et sa piscine dans les anciennes cuves à vin !
Ce fut un choix très clair pour le nouveau propriétaire, nourri de sa première expérience hôtelière, que d’ouvrir ce SPA en premier afin que les habitants de la région s’approprient l’endroit. Et visiblement tel est bien le cas car de nombreux « voisins » viennent régulièrement se détendre dans ce magnifique SPA qui offre trois cabines doubles et une simple, pour les soins, avec pour le visage, les produits Maria Galland et Phytomer pour le corps.
Un sauna et un Hamann et une salle de gommage complètent l’offre. Et, bien sûr, la superbe piscine, dont l’ambiance zen et la vue sur le parc et le château incitent à une délicieuse paresse.
Ouverts du Lundi au Samedi 10h à 20h et le dimanche jusqu’à 18h, soins sur rendez-vous.
La Cuisine, avec un restaurant gastronomique ouvert depuis la fin juillet, au sein du château.
Dorothée Teanor, du haut de ses trente-six ans, a déjà un beau parcours : Premier commis au Jules Verne à Paris, puis au Château du Maréchal de Saxe, en Centre-Val de Loire, comme premier commis et demi-chef de partie, ensuite à la Rochelle, où elle a rejoint -en tant que chef de partie et responsable pâtisserie, puis chef de partie traiteur- Grégory Coutanceau.
Puis elle fut second de cuisine au Château de Curzay, au Logis Saint-Martinet et au Chat botté, charmant endroit sur l’île de Ré.
Désormais chef du restaurant gastronomique du Château de Dissay, Dorothée Teanor aime travailler les légumes dans différentes textures et jouer avec les couleurs. Elle adore créer ses assiettes comme de petits jardins des saveurs et elle est en parfaite harmonie avec son second, Audrey Thomann, avec laquelle elle a déjà travaillé. Toujours en recherche du meilleur goût, le chef pour les achats, privilégie les petits producteurs.
En salle, c’est le maître d’hôtel, Pascaline, qui veille à ce que tout soit parfait… car pour le maître des lieux, l’objectif est de décrocher une étoile dans les prestigieux guides !
A découvrir le menu du Baron à 29 €, le midi, du lundi au vendredi.
Le soir est réservé au restaurant gastronomique, avec le menu de la Comtesse à 49 € et la carte. Un menu « Enfant » bien pensé pour les gastronomes en culotte courtes à 22€.
Dorothée Teanor, du haut de ses trente-six ans, a déjà un beau parcours : Premier commis au Jules Verne à Paris, puis au Château du Maréchal de Saxe, en Centre-Val de Loire, comme premier commis et demi-chef de partie, ensuite à la Rochelle, où elle a rejoint -en tant que chef de partie et responsable pâtisserie, puis chef de partie traiteur- Grégory Coutanceau.
Puis elle fut second de cuisine au Château de Curzay, au Logis Saint-Martinet et au Chat botté, charmant endroit sur l’île de Ré.
Désormais chef du restaurant gastronomique du Château de Dissay, Dorothée Teanor aime travailler les légumes dans différentes textures et jouer avec les couleurs. Elle adore créer ses assiettes comme de petits jardins des saveurs et elle est en parfaite harmonie avec son second, Audrey Thomann, avec laquelle elle a déjà travaillé. Toujours en recherche du meilleur goût, le chef pour les achats, privilégie les petits producteurs.
En salle, c’est le maître d’hôtel, Pascaline, qui veille à ce que tout soit parfait… car pour le maître des lieux, l’objectif est de décrocher une étoile dans les prestigieux guides !
A découvrir le menu du Baron à 29 €, le midi, du lundi au vendredi.
Le soir est réservé au restaurant gastronomique, avec le menu de la Comtesse à 49 € et la carte. Un menu « Enfant » bien pensé pour les gastronomes en culotte courtes à 22€.
Voici quelques plats pour vous mettre l’eau à la bouche…
Cannelloni de tourteau et de mangue, coulis de cresson.
Le Homard bleu en deux façons, risotto à l'encre de seiche, cannelloni croustillant
« Lomo » Iberico bellota, poêlée de chanterelles, écrasé de pomme de terre, jus corsé.
Délice mandarine, gingembre, sablé chocolat.
Pour le moment, le château propose plus d’une trentaine de places en intérieur et, à la belle saison, au moins cinquante sur la terrasse ombragée, dans la cour du château pour le déjeuner et le dîner.
La salle de restaurant surplombe le parc et donne sur la cour intérieure qui offre un écrin majestueux au cœur de ce monument historique.
Bientôt, un restaurant « Brasserie » ouvrira dans une des annexes du château, au sein des anciennes écuries du Baron de Lassat de Meynard.
Cannelloni de tourteau et de mangue, coulis de cresson.
Le Homard bleu en deux façons, risotto à l'encre de seiche, cannelloni croustillant
« Lomo » Iberico bellota, poêlée de chanterelles, écrasé de pomme de terre, jus corsé.
Délice mandarine, gingembre, sablé chocolat.
Pour le moment, le château propose plus d’une trentaine de places en intérieur et, à la belle saison, au moins cinquante sur la terrasse ombragée, dans la cour du château pour le déjeuner et le dîner.
La salle de restaurant surplombe le parc et donne sur la cour intérieure qui offre un écrin majestueux au cœur de ce monument historique.
Bientôt, un restaurant « Brasserie » ouvrira dans une des annexes du château, au sein des anciennes écuries du Baron de Lassat de Meynard.
Hébergement, pour vivre la vie de Château
Les premières chambres ont été ouvertes en août. Au total, le Château comptera vingt-cinq chambres et huit suites in situ.
Au printemps, lors de l’ouverture des trente-trois chambres, le château de Dissay en comptera une petite quarantaine.
Culture, avec un monument classé Monument Historique depuis 1989
Le château de Dissay fut construit à la fin du XVème siècle par Pierre d’Amboise, évêque de Poitier et famille de la noblesse dont l’un des frères étaient conseiller du roi Louis XIV . Ce fut sa résidence secondaire. Puis, jusqu’à la Révolution, le château fut la résidence des évêques.
Le château est entouré de larges douves qui lui donnent une allure altière, il se situe sur la route de Saint Jacques de Compostelle. Et par, chance, ce patrimoine n’a pas été divisé.
Dans l’enceinte du château se trouve une chapelle. Si elle est depuis désacralisée, elle recèle de magnifiques peintures du XVème siècle. A l’extérieur de la chapelle, les architectes ont remarqué une restauration du XIX de bonne facture réalisée par la famille Fruchard qui avait racheté le château vers 1850.
La restauration a commencé dès l’ouverture de l’hôtel, car le vœu de Christophe Bouvier est que ses clients puissent suivre la restauration en direct.
La DRAC a dépêché des chercheurs sur le site pour, à termes, réaliser une publication retraçant l’histoire de sa création jusqu’à aujourd’hui.
Bientôt le Chapitre 2 pour découvrir un autre site.
Carole Grouésy
